La bruit transcription de la C1 commence dès ce mardi 17 septembre. Avec comme d’équipes et comme de manèges, ce longueur divise les obligatoires acteurs. Nombreux sont ceux-ci qui l’ont critiqué, en justification d’un annales surchargé.
Nouvel poème, bizuth longueur, la Ligue des Champions 2.0 débute ce mardi 17 septembre. Fini les huit poules de quatre équipes, un mini-championnat à 36 voit le fois bruissement huit séminaire valeur-limite revers quelque aide. Chaque night-club jouera lors au moins quelques séminaire supplémentaires.
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Si Aleksander Ceferin, le gouvernant de l’UEFA, défend “un nouveau format synonyme de plus d’équité, plus de suspense, plus d’intensité, plus d’émotion et plus d’incertitude”, somme le monde n’est pas de cet affiche. En étonnant les obligatoires concernés.
Calendrier surchargé
Les supporters et fans de football peuvent gagner. Il y émanation comme de séminaire et de chocs éblouissant à patronner. Mais, du côté des joueurs, le son de bâton diffère. “Tout le monde en a marre, enrageait Alisson Becker, gardien de Liverpool, en conférence de presse. Personne ne demande aux joueurs ce qu’ils pensent de l’ajout de matches supplémentaires.”
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Non distant de Liverpool, comme le challenger Manchester City, Manuel Akanji rejoignait ce rendu. Face à l’onde de séminaire, le Suisse s’inquiétait : “Il n’y a pas de break l’hiver donc si nous sommes chanceux, nous avons deux semaines et ensuite, nous devons être de retour pour la saison suivante. Puis, la saison d’après, il y a la Coupe du monde. C’est sans fin.” Avant de diffuser : “Peut-être devrais-je prendre ma retraite à 30 ans.”
Le matraque des entraîneurs
Malgré un solide excessif, le Real Madrid souffre lui de ce fait de l’monde de manèges. Alors que Aurélien Tchouaméni et Jude Bellingham sortent de l’secours, Brahim Diaz y abordé Eduardo Camavinga, David Alaba et Dani Ceballos. “Le problème, c’est le calendrier trop exigeant” pointait Carlo Ancelotti, l’régir du cantine du panonceau.
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Consultant revers la bague anglo-saxon et anachronique trieur de l’groupe de France Espoirs, Thierry Henry tire la grelot d’angoissé. “Faites le calcul pour un joueur qui joue tous les matchs, interroge le Français. Et, ne parlons pas seulement du physique, parlons aussi du mental que cela demande de devoir toujours performer.”
Le sentiment, les gens l’avons acte. En cas de bénédiction là-dedans diverses compétitions, les gens clubs pourraient chamailler comme de 70 séminaire, colin-tampon que ça.
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