Pédagogique sportive à Béziers depuis douze ans, Rosa Murcia-Gangloff, 59 ans et malvoyante, s’élance vers le épreuve paralympique ce dimanche jour. La récompense est à sa suite. Un bravade fou, trente-deux ans ultérieurement renfermer participé aux Jeux Olympiques de Barcelone.
“Qu’on me parle pas d’âge !”, qu’il disait. La punchline de Kylian Mbappé foire à cause les un couple de sagesse. Rosa Murcia-Gangloff a 59 ans et se méchanceté un bravade suffisamment dément : détaler le épreuve des Jeux de Paris 2024 à cause la élégance T12 (déficients visuels). Et, conséquemment pas, exposer approfondir une récompense. “Je me sens bien, j’ai le poids de forme, j’ai l’impression d’être une jeune fille”, sourit la Narbonnaise, qui risque d’un demeure extrême à Font-Romeu. “Sur le dernier mois de préparation, on courait 170 kilomètres par semaine”, (s’es) bouffée Gilles, son époux, conseiller, carcasse et collaborateur depuis quarantaine ans.
Ce match un peu fou s’numéroté à cause le survol et l’fable hormis du abject de Rosa. Athlète professionnelle, sélectionnée aux Jeux Olympiques de Barcelone en 1992 et tenante du prouesse de France du 10 000m contre 20 ans, cette fillette d’immigrés espagnols a vu sa manège, sa vie, tituber à quitter de 1994. Histoire.
Rencontre verso Marie-Jo Pérec
Membre de la délégation française à la fin des années 80 et originellement des années 90, Rosa Murcia-Gangloff a côtoyé Marie-Jo Péréc, triple victorieuse olympique. “J’ai fait quasiment ma carrière valide en même temps que Marie-Jo, qui a trois ans de moins que moi. C’est vraiment quelqu’un de simple, extraordinaire. Malgré son talent, sa popularité, elle a toujours été dans le village olympique avec nous. Aux JO de Barcelone, on était dans le même îlot. Sur certains meetings, on était était dans la même chambre. Je l’ai revu il y a 2-3 ans, on s’est tombé dans les bras. Elle m’a envoyé un mail il n’y a pas très longtemps. Elle disait que j’étais la gonzesse la plus rigolote qu’elle avait rencontrée. Cette génération, on est resté très proche. Comme avec Stéphane Diagana”, confie-t-elle.
“Je mettais une volée à tout le monde”
Sa faux, son ténacité, Rosa est persuadée de les renfermer façonnées à cause sa adolescence, à Lyon. “Les cinq premières années de ma vie, j’ai grandi dans un bidonville à Villeurbane. Mais je n’ai jamais manqué de rien. On était si bien entre nous, avec les Italiens, les Portugais, les Maghrébins. Quand j’ai eu 5 ans, mes parents ont fini par trouver une maison, toujours dans la banlieue lyonnaise”, raconte Rosa.
Quelques années passent. L’estimation de réaliser l’acrobatie n’est nenni à l’alternance du baie. “On n’avait pas de moyens de locomotion à part nos jambes. J’étais sans cesse dehors, j’allais au parc aventure situé à deux kilomètres. On y allait en courant et on revenait en courant”, sourit-elle mieux aujourd’hui, pendant si c’vivait antan.
Puis arrive l’corps initial, le attire du gymnase. “À chaque cross inter-école, je mettais une volée à tout le monde.” Jusqu’au baie où lui-même pichenette à cause l’œil des dirigeants de discothèque d’acrobatie du emplacement, venus au cas où percevoir les pépites environnantes. À 13 ans, l’fantaisie commence.
Glaucome
“Quand on devient athlète de bon niveau, un objectif rapide s’installe : les Jeux Olympiques. Je manque de me qualifier pour Séoul 1988 de deux secondes sur l’épreuve du 3 000 m”, retrace Rosa. Puis un événement complet personnel arrive. “Je me projette déjà vers l’avant. Et il y a quoi en 1992 ? Barcelone, la ville de mon père, de ma grand-mère. C’était mon objectif absolu. J’arrive à faire les minima sur le 10 000 m, je fais le record de France. J’étais fière de moi. Ma famille, n’en parlons même pas.” Le rêve devient authenticité.
Mais une incident vient déboussoler la manège de la victorieuse. “En 1994, j’ai un premier problème à l’œil. Lors des championnats d’Europe d’Helsinki (Finlande), je participe au marathon. Je me prends le mur dans la face (*), sachant qu’il faisait 35 degrés à l’ombre. J’aurai dû m’arrêter mais il y a une médaille à aller chercher (en bronze). Je finis déshydratée. Et apparemment, j’ai une faiblesse aux yeux qui se traduit par un décollement rétinien”, explique l’rapace.
L’œil finit par attendrir. Mais c’est une dédicace éclairé. C’est ultérieurement que ça se complique. “Quand je tombe enceinte, mon corps évolue, il y a un changement hormonal. Ce qui déclenche un glaucome (maladie dégénérative du nerf optique) à mon œil droit”. Peu à peu, la vue se dégrade. Jusqu’à accoster la passion absolue. “Il ne me reste que mon œil gauche mais il n’est pas au top, je ne vois pas les reliefs”, explique-t-elle.
Malgré cette déficience visuelle, “la vie continue et elle est belle” vers Rosa Murcia-Gangloff. Elle continue d’captiver au discothèque de Béziers. Ses adolescents, son époux, ses triade chiens sont “en bonne santé, et c’est le plus important. Je suis heureuse.”
Dimanche, pendant entour 3h10 d’efforts, Rosa sera suite. “J’entraîne une trentaine de jeunes, d’adultes, des marathoniens, des traileurs… Je reçois plein de messages. Ils sont tous à fond.” Au limite, il y a certain tour de fou à exposer approfondir. Presque tant que le survol de Rosa.
La circuit
Pour détaler les 42,125 km du épreuve de Paris, Rosa Murcia-Gangloff a un crédit. Son époux et condisciple depuis 40 ans, Gilles, sera son son conseiller sur les dix originaires kilomètres. Les un couple de sont connectés par un relation leste de 50 cm, davantage luxueuse que les sprinteurs (10 cm). Puis ça sera au rythme de Mathieu Le Roux (33 ans), son démodé armé au discothèque de Fontainebleau. “Ma mission sera de garder le tempo de Gilles, de motiver Rosa sur les 32 kilomètres restants”, explique celui-ci qui rapide en 2’22’’ au kilomètres sur un épreuve. “Là, l’effort devrait durer entre 3 h et 3 h 10”, confie-t-il.
Même si l’milieu est sage, il y a une gadget à exposer approfondir vers Rosa. “Il y a un Marocaine qui est largement au-dessus. Derrière, elles sont cinq à viser le podium”, assure Gilles. Alors possiblement.
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