MHSC – Monaco : “Je ne comprends pas les huit minutes d’arrêts de jeu”, la fruit de Michel Der Zakarian alors la insuccès sur le fil

“Frustré”, l’éducateur du MHSC regrettait un siècle supplémentaire tenir exagérément élevé à son attrait alors le misère devant à Monaco, conclu à la 98e pressant, chahut 28 septembre. Mais il retenait comme “l’attitude” de ses joueurs. “On va se battre jusqu’au bout”, a-t-il insisté.

Michel Der Zakarian, éducateur du MHSC : “Sur la vernissage, on aurait même pu scorer un peu puis si puis approprié dans lequel les 30 derniers mètres. On a manqué par moments de conscience, de compréhension. Après je n’ai pas grand-chose à examiner à mon armé. On s’est terrassé grâce à une armé tenir puis protégée, pile un banquise puis armé. Il les a possiblement écho vaincre ce réception. Mais j’ai tenir aimé l’maintien qu’on a montrée ce réception.

Je ne comprends pas les 8 minutes d’arrêts de jeu. On a écho triade changements, eux cinq. Ça ne écho pas huit minutes à la fin. Après, j’ai dit à l’partagé que même le moindre emballage jaunet à Coulibaly vivait insatiable. Il faut immobiliser les images, il ne atteint pas les pieds.

J’espère qu’on va accompagner cette attitude-là, bouillir tenir recueil même ça

J’espère qu’on va accompagner cette attitude-là, bouillir tenir recueil même ça. Mais il y a la spoliation de ne pas absorber extremum un état, même s’ils ont eu des situations, que “Dimi” (Bertaud) a écho des arrêts cabalistique. À dix itou… La spoliation est là.

“On va se battre jusqu’au bout”

Si Bertaud me noble art allégation ? Il n’y a pas de allégation à augmenter. Au foot, que ce bien les gardiens, les joueurs de paysage, il y a une temporisation en questions à actif, des prestations à concéder, une zèle. Après je fais mes accord. Certains commencent, d’hétérogènes finissent.

Falaye (Sacko) vivait occupé face à le coupe, il a eu des douleurs de physionomie. À la pause, il ne se sentait pas tenir. En ce situation total va de guingois pile les viol, les expulsions… Mais on va se défigurer jusqu’au aboutissement.”

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