“On est à fond derrière eux” : hein fonctionne le plâtre estampillé “Made in MHR”, ensuite que le Stade Toulousain débarque chahut

Le MHR accueille le Stade Toulousain ce chahut 21 septembre deux jours ensuite un bénédiction maîtrisé quant à Perpignan (26-7). Une réussite en conséquence verso le plâtre, en poursuite de repères et d’observation.

Cette cercueil d’après-match avait entièrement un soif de crémant. Un primitif millésime lequel le plâtre se souviendra. La réussite quant à Perpignan (26-7) le vacance nouveau est la lauréate de ce Montpellier 2.0, frais en proportion cet été envers le réclame “Made in MHR” chez spéculation. “C’est le succès des joueurs”, glissait, pudiquement et bien, Joan Caudullo.

Mais en codé, on ne peut s’refréner de imaginer au attachement de euphorie individuelle ressenti par le régir et ses coaches. Surtout ensuite que nous ont inopiné un baptême hors de saison à cinq défaites d’affilée. Les mots du origine Thomas Darmon chahut nouveau en disaient grand : “On voulait absolument gagner pour eux. Les joueurs voulaient leur rendre ce qu’ils donnent depuis qu’ils sont dans le staff. On est à fond derrière eux.”

L’attachement des joueurs, revoilà la second réussite de Caudullo & co. Malgré à eux incapacité, intégraux poussent comme le même évocation. Les constats sont au délicieux agrippé. L’règle est honnête. Et supposé que il y a atermoiement, ils peuvent s’accentuer sur un Didier Bès (en agio de la bataille) et ses vingt ans d’patron, ou Bernard Laporte, aumône à intégraux les entraînements.

Didier Bès en plein échange avec Antoine Battut.
Didier Bès en lourd courtage envers Antoine Battut.
Midi Libre – SYLVIE CAMBON

“Je ne m’attendais pas à ce qu’ils switchent aussi rapidement”

“En début de saison, on a fait un séminaire staff. On a mis un cadre en place avec des règles pour chacun, un carré à respecter. Si on va au-delà de ce carré, on est dans une zone rouge”, explique Caudullo.

Après double salaire de besogne en collant, les sept coaches (*) trouvent à elles marques. Mais l’gnose admirable postulation du siècle. “À cause de notre inexpérience, on a eu des couacs. Dans la maîtrise de la semaine, sur des timings, des réunions de leaders dans lesquelles on n’a pas les bonnes questions ou les bonnes réponses”, reconnaît Caudullo.

Benoît Paillaugue a enfilé la casquette de coach cette saison.
Benoît Paillaugue a aligné la casque de entraîneur cette durée.
Midi Libre – SYLVIE CAMBON

La naufrage inaugurale quant à Lyon (22-26) aurait pu aménager un contusion. Mais non. Le plâtre a gardé le cap. Il suffit de se retourner aux vers du phase verso écouter deux noms d’gaillard lancés par Geoffrey Doumayrou verso deviner que créature ne va s’briser entrée à la conditions. “La séance vidéo après Lyon a été animée. Les deux (Doumayrou et Paillaugue) ont été durs, mais c’est normal”, germe l’antique talonneur.

Paillaugue et Doumayrou, respectivement 36 et 35 ans, sont forcément attendus au angle, eux qui ont raccroché les crampons la durée dernière. Plus que les dissemblables. “Franchement, je ne m’attendais pas à ce qu’ils switchent aussi rapidement”, apprécie Caudullo. “J’ai vraiment la sensation qu’on travaille bien tous ensemble.” Un ressenti capitalisé par un embrouillé et maîtrisé bénédiction quant à l’Usap.

Mais la cadence verso goûter n’émanation pas duré. Samedi, c’est le Stade Toulousain qui débarque au GGL. Le MHR n’a puis gagné à gîte quant à les Rouge et Noir depuis cinq ans. “Ça va être hyper compliqué. Mais ça sera un bon moment à vivre”, conclut Caudullo. Voilà le puis pesant hâblerie de ce baptême hors de saison. Pour très le monde, lequel le plâtre.

(*) Manager : Joan Caudullo
Attaque : Benoît Paillaugue.
Armure : Geoffrey Doumayrou.
Touche et primitif siècle de jeu : Antoine Battut.
Combat : Didier Bès.
Rucks et attitudes au caresse : Benson Stanley.
Skills et jeu au arpion : Jérémy Valls.

Comments are closed.