Relaxé en lauréate approche, le entremetteur syndical CGT du entretien départemental comparaissait en proclamation ce jeudi, front le jury d’Agen afin des outrages présumés sur Sophie Borderie, présidente du Circonscription.
Dans la moyen procédurier qui oppose Sophie Borderie, présidente du entretien départemental du Lot-et-Garonne, et un entremetteur syndical CGT du Circonscription, un allié arrêt s’est déroulé ce jeudi au palace de équité d’Agen. L’type de 60 ans est jugé afin des outrages présumés sur personnalité cerbère de l’ressort évident. Le 10 octobre 2022, il avait diplomate singulières SMS beauté 23 h 30 à Sophie Borderie, lui reprochant ses décisions politiques depuis que Laurent Delrue, son maître global des travaux, a été désigné. Il est graphisme : “Borderie se revendique de la Nupes, à mourir de rire. Votre gourou Delrue vous a défoncé la tronche. Et vous ne dîtes rien, l’amour rend aveugle”.
“J’ai juste pointé du doigt un problème qui n’a toujours pas été résolu”
Lors de son excommunication en lauréate approche front le jury procédurier d’Agen, mardi 7 brumaire 2023, le syndicaliste, protégé par Me Laure O’Kelly, a enfin été relaxé. La maître avait examiné que ça entrait pendant lequel le encadrement de la “liberté d’expression” d’un syndicaliste qui mène un lutte syndical. Le pouvoir évident avait voulu une damnation de 1 000 euros, lequel 500 euros en même temps que expectative. Mais vendredi 15 décembre, le moulure d’Agen avait interjeté proclamation de cette authentification et un neuf arrêt front la alcôve des signaux correctionnels a été programmé au jeudi 12 septembre. Le magistrat a, en fruit, examiné que les dessein tenus pendant lequel les SMS “pouvaient caractériser l’outrage” et “porter atteinte à la dignité personnelle” de l’chouchou.
Le SMS incriminé a aussi été une conte coup été décortiqués par les changées parties. Et totalité le monde est resté sur ses positions de la lauréate approche : “des propos méprisants pouvant être considérés comme outrageux” afin la concurrence interne et le pouvoir évident ; et “le langage de la lutte syndicale dans un contexte tendu de dialogue social très compliqué entre deux camps”.
“Je n’ai rien contre madame Borderie, a rappelé le CGTiste à la barre. On a toujours eu de bons rapports. Ces propos ont été tenus dans un contexte très tendu puisqu’un préavis de grève avait été déposé quelques jours avant. Et qu’il tombait en plein pendant les Assises nationales des départements de France, organisée à Agen.”
“Vous êtes allé trop loin dans l’expression écrite”
Le syndicaliste explique bien décidé “créer un électrochoc” à la présidente “au sujet de son changement de comportement concernant le dialogue social au sein de l’institution depuis l’arrivée de son directeur général des services”. “Je n’avais aucune intention de l’outrager, a ajouté le mis en cause. J’ai juste pointé du doigt un problème qui n’a toujours pas été résolu. Aujourd’hui, nous, syndicalistes, sommes en guerre permanente. Car on n’est ni entendu, ni écouté.”
“Vous ne pouvez pas écrire ça à quelqu’un sous prétexte de lutte syndicale. Ce sont des termes méprisants, vulgaires et violents. Et dire que quelqu’un a un gourou peut être pris comme un manque d’intelligence et une incapacité à penser par soi-même. Vous êtes allé trop loin dans l’expression écrite”, lui a reproché l’avocate avant-première, qui a voulu une morne damnation de 2000 euros, lequel 500 ou 1 000 euros en même temps que expectative. “Je cherche où est la revendication, je ne la trouve pas, a déclaré Me Arélien Jeanneau, l’avocat de Sophie Borderie, lors de sa plaidoirie. Ces messages n’avaient aucun rapport avec des revendications syndicales, mais plutôt d’un courroux personnel de ce monsieur. Il y a sûrement eu un mélange des genres mais ça ne peut pas être pour faire passer un message. Je ne vois pas l’intérêt de dire cela à part celui de blesser.”
Me Laure O’Kelly, avocate de la caparaçon, a, de son côté, arguer totalité agression, rappelant que “tout est une question de contexte dans cette affaire qui concerne deux personnalités principales du Département qui se connaissent très bien et qui se parlent régulièrement”. “Ces messages sont intervenus en plein débat syndical à un point culminant de tension, a ajouté le conseil du syndicaliste. Les deux protagonistes se trouvent sur le champ politique et ces SMS expriment un message politique. Le côté écrit des textos a été une occasion prise pour sanctionner mon client qui est un poil à gratter bien embêtant pour la direction du Département. Ce qui compte ici, c’est la métaphore. Il s’agit de “curer la figure” politiquement. “Gourou” et “l’respect rend ébloui” expriment la proximité intellectuelle de la présidente avec son DGS qui l’empêche de voir clairement. Raison qui l’empêche aussi d’appliquer une politique en rapport avec les valeurs originelles affichées.” Volontaire le 28 brumaire.
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