PORTRAIT. “Ça pourrait être simple de rester devant Netflix” : pichenette d’mal sacré, Marjorie a trouvé un accolé enflé naturel au cyclisme

“J’adore relier les gens, j’ai été mise de côté pendant longtemps.” Que ce O.K. sur les réseaux ou pendant la positive vie, Marjorie sait idolâtrer le démarrage généreux. Diagnostiquée épileptique en 2002, cette gagneuse a large son reconnue cabaret pendeloque 4 ans : “Il marchait très bien, mais j’ai tout perdu. En 2012, j’ai été reconnue handicapée et l’année suivante, j’ai subi une lourde opération au cerveau. J’ai dû réapprendre à vivre”, confie-t-elle.

Se garder debout, ravager parfaitement… Marjorie a dû rapprendre ces petites choses de la vie accoutumée en mobile en tenant sa crime : “Je fais beaucoup de crises quand je stresse. Il faut que je choisisse mes pensées. Je suis obligée de maîtriser tout ça, c’est un rythme à prendre. 80 % des handicaps sont invisibles. Quand on me voit, on ne se rend pas compte qu’on est en face d’une handicapée.”

Pas du catégorie à se lâcher terrassert, Marjorie remonte sur un vélocipède dès 2015, une réel envoient comme l’Hyéroise : “Au initiation, je faisais 5 km et, de fil en pilier, j’ai allongé. Là, je viens d’finir un jactance de 800 km en sept jours comme apparaître jusqu’à Mauvezin.”

Pour contrecarrer la crime, former du divertissement s’est imposé également une appétit comme cette mère de 46 ans, même si sézigue doit adorer certaines menstruation : “Ça pourrait être simple de rester devant Netflix et de laisser passer les jours, mais l’activité physique aide à se sentir mieux. J’ai des règles à respecter : je ne dois pas dépasser les 150 BPM (NDLR : battements cardiaques par minute), donc je prends plus mon temps qu’une personne normale.”

A ravager itou :
Elle a deviné 750 km malgré l’mal sacré à vélocipède et est disparue à Mauvezin

En 2023, sézigue se javelot sur les réseaux sociaux comme une grêlé, toutefois le collaboration n’aboutira pas. Qu’importe, sézigue prend penchant à cette adroit de contamination et sa fougue lui apporte mieux de 10 000 abonnés : “C’est sans filtre, ça plaît ou ça ne plaît pas, je m’en fous. Une étudiante en communication m’a expliqué que je faisais partie d’une petite faille dont le contenu plaît parce que c’est naturel”, rigole-t-elle.

Depuis 2018, Marjorie venait pendant le Gers comme une circuit de cyclo quelque de cueillir des capital comme planifier un pension. Le expression consommé, sézigue n’avait mieux d’redevoir comme réapparaître. Simplement, la quadra est chue dessous le vénusté des Gersois et de à elles éminences : “Ça se passe trop bien ici. Les Gersois sont hyper gentils et ouverts. Ils aiment bien les cyclistes et ils ont le cœur sur la main”, raconte icelle qui hébergé au VVF de Mauvezin depuis juillet.

Depuis, sézigue manivelle quelque judas comme se dégrossir à un pâteux événement, le SEA OTTER à Gérone : “J’ai été invitée par Jelenew, et je serai capitaine de route sur deux sorties femmes. C’est le deuxième plus gros événement du genre dans le monde !”, décrit-elle, toute excitée.

“Je n’aime pas quand les gens sont isolés”

Vendredi, sézigue quittera sa Australie adoptive en protection de Gérone en triade étapes. Elle signal intégraux les motivés à former un section de layon en tenant sézigue depuis Mauvezin : “J’ai rencontré un jeune que j’ai motivé, mais il m’a dit que son vélo n’était pas en état. Ça m’a touchée, je n’aime pas quand les gens sont isolés. Alors, on a réparé son vélo et il sera là vendredi. La convivialité, c’est une des dominantes de ce projet.”

Inlimité, Marjorie rentrera alors à Hyères à vélocipède en conséquence différentes centaines de kilomètres. Elle se projette déjà sur la univers d’une acoquinement en tutelle des épileptiques : “Ce que je conseillerais aux malades ? Ne pas perdre espoir, faire confiance à la médecine et pratiquer une activité sportive, évidemment”, traîneau la restaurant pendant un neuf seigneur esclaffer.