Reprise du association de rugby de Béziers : quelle sont les noms qui circulent ?

Il n’y a régulièrement pas de nouvelles relativement à la réparation de l’ASBH. Toutefois, des noms circulent, avec iceux des immémoriaux joueurs de Béziers, Andrew Mehrtens et Johnny Howard. Ils pourraient affairé à à eux côtés l’bonhomme d’firmes gaélique Eddie Jordan, ex-pilote et doyen profitable d’atelier de Formule 1.

Les jours, même les semaines, passent et régulièrement babiole : nul ne peut soutenir qui sera le acheteur de l’ASBH. Ni même s’il y en halo un… À la mi-août, Robert Ménard, le conseiller municipal de Béziers, annonçait : “Nous avons signé un protocole d’accord avec un groupe étranger. Nous avons envoyé le dossier à l’Autorité de régulation du rugby (ex-DNACG), le gendarme financier de la Ligue nationale de rugby. C’est elle qui validera, ou pas, le rachat du club. Cela fait des mois que nous discutons avec les dirigeants de ce groupe.”

Un pécule d’isolement

Le massé en difficulté est un pécule d’isolement. Mais familier d’un traitement ensuite l’placarde du conseiller municipal, babiole n’est davantage acté. Toutefois, depuis, des noms circulent et se font de comme en comme insistants. Avec en préalable endroit, celui-là d’Andrew Mehrtens, l’doyen placier féerique néo-zélandais, qui a inconditionnel sa amphithéâtre de turfiste à Béziers à la fin du challenge 2010-2011. Il avait derrière intégré le plâtre de l’ASBH la de saison suivante, prématurément de désavouer le association maints traitement comme tard. Johnny Howard serait moyennant de la passage. L’ex-demi de confusion de Béziers et d’Agde, qui a œuvré entre la rétablissement ensuite sa amphithéâtre de rugbyman, renfermant singulièrement un food-truck, a adéquatement côtoyé Andrew Mehrtens supposé que ils portaient, entiers les couple, le bikini Afrique et bleusaille.

Un milliardaire bonhomme d’firmes gaélique

Au nom de ces immémoriaux joueurs, vient s’additionner celui-là du milliardaire bonhomme d’firmes gaélique Eddie Jordan. Il s’agit d’un ex-pilote de Formule 1 qui a derrière dominé une atelier de F1. Âgé de 76 ans, profitable d’un voilier à voiles de 45 m, habitant à Monaco, il a amplement les balance de placer la droite à la pochette et de s’produire un association avec celui-là de Béziers.

Est-ce l’recherche du punition perdu du association par les investisseurs émiratis en 2020 et le scandale médiatique qui l’a joint ? Nul ne s’exprime, en ensemble cas, sur le cobaye. Pour l’durée en conséquence, le liquette est régulièrement pénétré les mains de l’Autorité de dispatching du rugby qui sollicité des garanties à ensemble acheteur. Entre méconnaissables : a-t-il des balance financiers ? D’où proviennent-ils ? Qui sera le gérante du association ? Quels seront ses projets et son comptabilité pile les années à sortir ? Des questions posées aux éventuels repreneurs de Béziers qui doivent évidemment davantage combattre en tenant le brigadier régisseur du rugby gaulois.

Verdict à la fin du traitement de septembre, même originellement du traitement d’octobre. En attendant, l’ASBH acquis. C’est le comme hautain.

Partenaires et supporters du association entre l’suspension

Les partenaires du association, descendants et fort, sont moyennant entre l’pause. S’ils sont sur le buée du bénédiction ensuite la capture de à eux atelier extérieur à Provence Rugby, ils refusent, mais de s’embraser beaucoup que rine n’est permanent relativement à la avancée d’un imprévu acheteur : “Nous attendons de voir qui reprendra le club et de quelle manière, concède Cyrille Romero, indéfectible sponsor de l’ASBH depuis des années. S’il y a un repreneur, j’espère qu’il s’appuiera sur tout ce qui a été mis en place ces dernières années et bien entendu, s’il a des moyens conséquents, qu’il renforcera le club. J’espère aussi qu’il ne s’intéressera pas seulement à la SASP, qu’il se penchera aussi sur l’association et la formation. Béziers est un gros village. On entend de tout. Il est clair qu’il faut éviter de dire n’importe quoi. Il faut juste être patient.”
Les supporters rongent moyennant à eux obstacle. Ils concèdent employer démonstration tant de rareté que de discernement : “Chat échaudé craint l’eau froide, sourit Thierry Rouanet du club des Brennus en songeant à 2020 et à la reprise avortée du club par des investisseurs émiratis. Nous attendons de voir si ces repreneurs dont on parle vont permettre de franchir un cap. Pour l’instant, nous nous reposons sur les annonces du maire. Mais il n’y a pas de quoi sauter de joie puisqu’il n’y a encore rien… Nous espérons simplement qu’il y aura une mobilisation financière mais aussi sportive avec un projet sur plusieurs années. Mais il est quand même vrai que l’attente commence à être un peu longue…”

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