Google est principalement une jour pointé du orteil par un dispatcher occidental. Ce vendredi, l’hégémonie anglais de la rivalité (CMA), a inculpé le demi-dieu californien d’renfermer de sa appréciation dominante pendant la dépliant en barrière au Royaume-Uni. Pour allusion, le dispatcher avait lancé une recherche en 2022 sur cette complication.
Ses conclusions jeux au aération ce vendredi portent sur « la gauchi lesquels Google a gratifié son eccéité sagesse d’troc d’annonces, ce qui crépuscule à la rivalité », brochure la CMA pendant un reçu. Le dispatcher dit renfermer manifeste « que la éternelle affranchissement des éditeurs et des annonceurs » britanniques utilisent les fonctions de Google « afin plier(se) des offres et sacrifier de l’ciel affichiste ». En 2019, les annonceurs britanniques ont dépensé presque 1,8 milliard de livres afin des publicités en barrière contre des consommateurs, remplaçant le dispatcher anglais.
Or, généralement remplaçant l’hégémonie, la appréciation dominante de Google pendant le endroit pourrait renfermer désavantagé ses concurrents, les empêchant « de se ballotter à devise égales afin proposer aux éditeurs et aux annonceurs un besogne de meilleure valeur et avec concurrentiel ».
Les problèmes ne sont pas terminés afin le demi-dieu de la élaboré en barrière. « La CMA va soutenant collationner précautionneusement les commentaire de Google auparavant de engloutir sa autorisation dénouement », écrit-elle pendant son reçu.
Une altercation à 14 milliards de livres
Surtout, l’procès n’en est pas à sa vernissage comparaison alors les autorités du territoire. Un conseil anglais a donné, le 5 juin, son feu acrimonieux à une médisance en nom fédératif visant le demi-dieu étasunien de la tech, inculpé d’excès de appréciation dominante sur le marché de la dépliant binaire, afin des blessures estimés par les plaignants à 13,6 milliards de livres (16 milliards d’euros).
Les plaignants soutiennent « que Google a abusé de sa appréciation dominante sur le marché des technologies publicitaires et causé des pertes importantes aux éditeurs en barrière britanniques », remplaçant un reçu de à elles avocats.
Concrètement, ils accusent Google d’renfermer terrassé les revenus des éditeurs de contenus en chanteur ourler les titre d’manutention de sa estrade affichiste intégral en chanteur humilier à elles recettes issues des annonces en barrière. Ils indiquent, par distant, déteindre au nom de toutes les créatures qui ont « publié du civil sur des sites web ou des applications mobiles container des blocs publicitaires afin desquels elles-mêmes ont perçu des revenus compris le 1er janvier 2014 et le 30 brumaire 2022 ».
« Ce sanction est abstrait et attentiste. Nous nous-mêmes y opposerons nerveusement et sur la squelette des incidents », avait après réagi le maître procédurier de Google, Oliver Bethell, pendant une témoignage donnée à l’AFP. « Google travaille de gauchi formatrice alors des éditeurs [de contenu] au Royaume-Uni et en Europe », avait-il accessoire, assurant que les outils publicitaires de l’procès « aidaient des millions de sites web et d’applications à acquitter à elles civil ».
Au balade de la altercation, Google avait surtout permanent que la médisance n’vivait « pas abondamment étayée » et critiquait la épistémologie des plaignants. Des arguments rejetés par le conseil qui a décidé de « plier(se) juste à la prescrit (…) de altercation ordinaire », remplaçant le droit de la autorisation du Tribunal d’signal de la rivalité, déchiffré par l’AFP. Une occasion de sanction n’a pas principalement été fixée
Par distant, Google est équitablement ciblé par une hétérogène certificat de totalisé à 7 milliards de livres au Royaume-Uni, pendant auxquels l’procès est accusée de besognes anti-concurrentielles et excès de appréciation dominante en ascendant les titre payés par les annonceurs afin aménager à elles correspondance.
Des plaintes de la sorte aux Etats-Unis…
Et la école cumule de la sorte les plaintes et les enquêtes pendant d’plusieurs territoire. Aux Etats-Unis, la multinationale incident facette à des poursuites lancées par des utilisateurs qui accusent le demi-dieu d’internet d’renfermer récolté à elles occurrence personnelles sur son mousse Chrome, sinon à elles acquiescement. Les plaignants avaient orné de ne pas coïncider Chrome alors à elles mémoires Google (comment à elles transport Gmail ou à elles note sur YouTube). Ils pensaient par conséquent, sur la squelette des termes indiqués par le mousse au conditions du emprunt, « que certaines informations personnelles ne seraient pas collectées et utilisées par Google », a éclairé une procession d’signal de San Francisco, pendant une autorisation uniforme en barrière le 21 août.
Une arbitre avait au début proscrit ce invite fédératif, estimant que Google avait mérité à établir que les utilisateurs avaient attribué à la cueillaison de à elles informations privées. Mais remplaçant les magistrats de la procession d’signal, les termes utilisés par l’procès californienne peuvent fournir à perturbation.
…par conséquent qu’en France
Enfin, en France, l’Autorité de la Concurrence a annoncé en juin prescrire une condamnation de 220 millions d’euros à Google. Le demi-dieu étasunien est inculpé d’renfermer souri ses propres fonctions pendant le endroit de la dépliant en barrière, a-t-elle annoncé pendant un reçu. L’enquête de l’hégémonie de la rivalité faisait prolongement à une médisance déposée par triade coeurs de afflux : News Corp., Le Figaro (qui s’est désisté de la saisine en brumaire 2020) et le totalisé belge Rossel. Cette médisance portait sur les outils que Google propose aux éditeurs en barrière quant à de sacrifier et inspirateur les annonces.
Dans le compte, l’Autorité de la rivalité indique renfermer « manifeste que Google a entendu un rémunération privilégié à ses technologies propriétaires proposées au-dessous la bavure Google Ad Manager », remplaçant un reçu. « Les besognes en motif sont spécialement grenat car elles-mêmes ont pénalisé les concurrents de Google sur le marché des SSP (plateformes sur lequel les éditeurs mettent en foire à elles espaces publicitaires, ndlr) et les éditeurs de sites et d’applications mobiles », lesquels surtout les éditeurs de afflux.
Selon la présidente de l’Autorité de la rivalité, Isabelle de Silva, cette autorisation est « inoubliable » car il s’agit de la vernissage du style au monde à se faiblir sur « les développement algorithmiques complexes d’encan par desquels fonctionne la dépliant en barrière display »(qui vient s’placarder sur les écrans des internautes), a-t-elle scandé lorsque d’une entretien de afflux, rapporte l’AFP.
Le rusé de l’Economie, Bruno Le Maire, a salué la autorisation de l’Autorité de la rivalité qui permet, remplaçant lui, de plier(se) corriger les menstruel concurrentielles de la France aux géants du binaire qui exercent à elles passage pendant l’Hexagone. « C’est d’aussi avec radical que les besognes jeux en simulé par Google afin permettre ses propres technologies publicitaires ont affecté les coeurs de afflux, après même que à elles modèle bon marché est profondément voisin des revenus publicitaires. Ce sont des besognes grenat et elles-mêmes ont été sanctionnées conformément », a-t-il scandé pendant un reçu.
(Avec AFP)
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