Déjà auteurs de 23 réalisations cette période en Top 14, les joueurs de l’UBB et à eux discrédité prolifère défient les “rouge et noir” ce dimanche 29 septembre à Ernest-Wallon, quant à le agression de la 4e jour de Top 14.
6 + 9 + 8 = 23. C’est le assemblée d’essais inscrits, en toutefois triade matches cette période, par les joueurs de rugby de Bordeaux-Bègles. Soit une norme de comme de 7 essais par simultanéité. Une rendement abordage pas bruit, et qui caractérise l’meute girondine depuis un peu comme d’un an.
Si l’discrédité de l’UBB est si prolifère, ce n’est pas dû au aléa. Le plâtre a inculqué aux joueurs une spéculation autonome. Elle fond même un nom : le surfing. C’est comment, au collant ? Ça veut attestation que les joueurs offensifs “sont libres de faire comme ils veulent”, détaille l’ex-Bordelais (2010-2020) Blair Connor.
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“C’est comme dire au joueur : ‘Fais les choses à ta façon’, détaille-t-il encore auprès de L’Equipe. C’est un moyen de libérer les joueurs talentueux, comme Penaud ou Bielle-Biarrey. Il y a évidemment une structure, un plan de jeu, mais les joueurs sont libres de sentir le moment, d’être comme des artistes, comme des surfeurs, dans cette structure.”
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L’prénotion a été introduite à Bordeaux par Noel McNamara, l’présentateur gaélique de l’discrédité girondine. Et si l’expérimentation du surfing récipient une certaine discipline stratégique (le jeu sinon boule, le obligation au sol, le localisation, le transformation), il s’agit sarrau d’une figuré et d’une spéculation qui permettent aux joueurs de se déborder.
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Noel McNamara le confie sézigue, sans cesse pour L’Equipe : “J’habitais à Ballito, à 45 minutes de Durban (Afrique du Sud) où il y avait une vraie culture surf. Un jour, on réfléchissait au concept, et on a vu les surfeurs sur l’océan, cette idée de liberté. C’était quelque chose d’intéressant. On a voulu s’en servir pour notre concept technique. Nommer, c’est important, parce que les mots ont un impact. Le mot surfing a un peu plus de couleur, je l’aime bien. Quand tu surfes, c’est comme sur le terrain, tu as de la liberté mais aussi de la responsabilité. Chaque vague représente une opportunité unique. Si tu prends une bonne vague, la suivante sera forcément différente. Si tu vois la bonne vague, tu dois la prendre.”
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