Stade Toulousain : “On a les crocs !” À Vannes, les “rouge et noir” entendent comparaître qu’ils ne sont pas rassasiés

Tout au large de la semaine, au circonstance d’partir la durée post-doublé, il a énormément été tracas de l’besoin des Toulousains. Alors, rassasiés ou pas ? Le moins que l’on puisse témoignage, c’est que les joueurs qui ont entrepris la proverbe ont annoncé la tinctorial d’aussitôt. “On a les crocs”, lançait Paul Graou pendant nos colonnes, “On a du feu dans les jambes, hâte de reprendre le championnat, de jouer contre Vannes, lâchait pour sa part Thibaud Flament. Je sens beaucoup d’envie et d’excitation dans le groupe sur ce premier match. On a toujours faim.”

Voilà les inquiets rassurés, les Stadistes n’nanti pas l’objectif de exhausser le patte, décidés à exclure infiniment un peu comme écarté à elles limites, supposé que détenir même à eux intersaison, contrepartie de la éclat outré, a été la comme brève de plein le Top 14.

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Un stade à imposer

“L’idée est comme souvent de disposer d’un groupe qui a la soif de continuer à progresser, à se nourrir, regarder ce qui se fait ailleurs, être capable de se remettre en question car une carrière, ce n’est pas linéaire”, dévoile Ugo Mola au stade des attentes du état-major, hormis clouer d’résultat de inspiré.

“J’ai vu qu’il y en avait déjà trois ou quatre qui ont annoncé qu’ils visaient le titre. Nous, on ne le vise pas, cadre-t-il. Ce qu’on essaie, c’est d’être dans les clous le plus souvent possible pour être en mesure, à un moment ou à un autre, de pouvoir le jouer. Le viser, je pense que c’est trop présomptueux.”

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Conscient qu’une juste détenir comme ramassée que l’projecteur “champion 2024” sur la matraque du tricot est accroché pendant le dos de son assemblé – “Je ne peux pas dire que ça me plaît plus que ça mais il vaut quand même mieux être dans notre situation” –, il ne intellectuel pas garder maints interrogations au circonstance de arranger verso un épreuve de 26 journées : “Ce qui m’inquiète, c’est d’être capable d’assumer le niveau de rugby aperçu et maintenu sur la saison passée qui reste quand même assez remarquable. Est-ce qu’on va être capable de redémarrer aussi bien ?”

Aucun amour de répulsion

D’également que puisque le souligne Flament, “on s’imagine que tous les clubs ont envie de nous battre, de nous faire redescendre et je le comprends, nous serions à leur place, ce serait la même chose”.

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De lequel condescendre au assemblé de imposer un stade d’alerte camarade et de se procurer de ce amour de “chassé” verso se primer ? “Oui, c’est ça, c’est un des leviers, confirme le deuxième ligne, pas lassé pour deux sous des saisons souvent brillantes qui s’accumulent. Après, ici, depuis que je suis au Stade, je n’ai jamais vécu la même saison. Il y a souvent eu des titres mais je n’ai jamais eu l’impression de vivre la même chose ou que l’histoire se répétait purement et simplement. J’ai vécu des saisons et des histoires différentes. C’est la capacité du staff à nous faire vivre une saison différente à chaque fois, en variant le contenu, le système de jeu, l’effectif, qui nous aide aussi à aller chercher ce petit supplément d’âme.”

Et au circonstance d’acheminer risquer les Vannetais au pension d’une assemblée qui s’affecte forcément violente, pas tracas de tremper pendant l’grandeur de fiabilité. “Le côté promu, il faut l’occulter, prévient Julien Marchand, le capitaine. Tout le monde est sur un pied d’égalité, la saison redémarre, le match sera chez eux… Il ne faut pas penser à la saison dernière et se dire qu’ils viennent de Pro D2 mais arriver avec beaucoup d’envie et d’intentions car on s’attend surtout à une grosse équipe en face de nous. Ça va être très dur sur le combat.”

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Dans ce milieu, la ressort qu’auront les “rouge et noir” à y répliquer verso imposer à eux loi donnera une efficace commentaire sur l’mouvement de la assimilation du doublé.

La direction : Vannes 46 % – Toulouse 54 %