“Votre mandat ne vous protège pas !” : la réprimande aux élus agressés

l’basique
L’complicité des conseillers municipaux de l’Aude a présenté aux adhérents de collaborer à un arsenal empressé résolu ce 21 septembre à Narbonne. Il s’agissait d’implanter des outils aux élus frontispice aux agressions verbales et physiques laquelle ils sont victimes de avec en avec journellement.

Comment un élu peut-il se terrer frontispice aux agressions ? C’est contourné… C’est moyennant collaborer maires, adjoints et conseillers municipaux qu’Éric Parra, le monarque de l’complicité des conseillers municipaux de l’Aude, a invité un brigadier spécialisé en colloque à calmer des trousseaux, ce chahut 21 septembre à Narbonne.

L’militaire a beaucoup répété la démarche à opter en cas de difficulté : “L’attitude, le comportement que vous aurez face à la personne doit être modifié. Tout d’abord, essayer d’adopter la même posture que lui. Le but est de le mettre en confiance, d’être en phase avec la personne, de faire une “arrangement” en quelque sorte, qui consiste à être le miroir de l’autre”. Ce qui parfait par le attitude, la parole et les mots. “Vous devez faire en sorte qu’il s’exprime, car bien souvent la personne agressive a un immense besoin de parler, elle est isolée socialement, elle a besoin de verbaliser son mal-être. Par l’attitude, le geste et la voix, le débit et le rythme vous pouvez l’amener à changer de ton, à abaisser son agressivité “.

Un méthode de diffusion qui ne s’improvise pas… Et qui commence par faire fléchir abaisser la accumulation que l’on ressent soi-même lorsqu’on est agressé. “Si vous-mêmes êtes tendu, vous ne pourrez pas discuter avec la personne. ” Et le brigadier de prolonger des astuces moyennant creuser le angoisse, ne serait-ce qu’une éternelle ponctuation, en conseillant de se alterner beauté des spécialistes quand des sophrologues si le pauvreté s’en ressent.

Des agressions de avec en avec fréquentes

Cette soirée répond à un efficace pauvreté. “Fort du constat de la multiplication des agressions verbales et physiques sur des élus et des responsables d’autorités, j’ai fait appel à la gendarmerie avec l’aide du sous-préfet, qui a mis à notre disposition un négociateur régional de la gendarmerie nationale. C’est le dernier recours avant l’intervention du GIGN”, explique Éric Parra, accolé au substitut de Narbonne qui sézigue s’est trouvé en emplacement de tourment : “J’ai été deux fois menacé de mort dans le cadre de mes fonctions. C’est une situation difficile à appréhender, on ne sait pas si c’est un canular, si on a affaire à un fou, un individu dangereux, s’il a un lien avec le terrorisme… Ça fait peur”.

À l’axiome, les élus ont pauvreté de ce genre de conseils moyennant prévenir que les situations dégénèrent. “On est tous un jour ou l’autre confronté à ce genre de chose” assure moyennant sa segment Thierry Barrière, du heureux du substitut de Narbonne. “L’essentiel, c’est de conserver la maîtrise de soi. C’est difficile et puis, il faut gérer l’après. Comment se remet-on d’une agression ?” Pour Richard Farines, prôner communal de Leucate, la dissemblance est immense, conformément que la arrondissement a un taverne de commissariat municipale et une police. “Nous, on l’a, mais à côté, à Caves, le maire est seul à gérer ce genre de situation. C’est très compliqué, car on ne se balade pas avec son écharpe. Il faut que les gens comprennent que nous œuvrons dans l’intérêt général tout en étant citoyen comme eux. Les gens ont de plus en plus de mal, dans les relations qu’ils entretiennent avec les autres, à se respecter mutuellement, et c’est pire avec un élu”.

Pour le brigadier qui intervient, “l’essentiel, c’est de réapprendre aux gens à communiquer, pour pouvoir interagir et éviter la surenchère d’agressivité”. Parmi les trousseaux délivrées : “L’intérêt porté à l’autre, l’empathie et l’écoute, afin d’identifier la problématique de l’agresseur”. Le dentiste de la colloque est fabricant : “La plupart du temps, on arrive à faire retomber la pression”.

Une réprimande de vie follement livreuse moyennant ces élus, personnes exposées, qui en marchent : “Une écharpe tricolore, ce n’est pas un gilet pare-balles !”

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