A Villeneuvette la Table Ovale reçoit Laurent Nicolllin et Sylvain Sanmartin comme un arrogant compétition dépendant

Mardi 8 octobre, le gouvernant du MHSC et le traileur Héraultais réalisaient invités de la Table Ovale au Château de Malmont, à Villeneuvette.

Une coup n’est pas rituel, ce mardi brunante, parmi l’boîte du Château de Malmont à Villeneuvette, la Table Ovale avait des contours arrondis. Et comme précision, l’annexion des entrepreneurs du Clermontais, présidée par Bernard Bilhac, avait convié quand spacieux autre un invité de signature : Laurent Nicollin, gouvernant du Montpellier Hérault Sport Club, le Club de football montpelliérain qui connu, cette période, un demi-siècle d’entité et de performances parmi l’fine fleur du dirigeable bouffant.

“Donner avant de recevoir”, Laurent Nicollin, chef du MHSC

Bien sûr, au-dessous les interrogations de Bernard Bilhac, il fut rigoureusement obstacle de hit-parade, du rentrée des clubs de Ligue 1, du canevas de bleu gymnase, de la immunité des capacités télés… Mais il faut itou, largement, obstacle d’désarroi et, singulièrement, de réciprocité. “On est le club d’une ville, d’un département, d’une région. Nous ne sommes pas seulement des joueurs professionnels présents le dimanche pour jouer au football. On est là pour accompagner les enfants qui sont malades dans les hôpitaux, pour accompagner les enfants en difficulté… C’est important de donner avant de recevoir, c’est la philosophie que nous avons instaurée au club. On veut faire des choses importantes pour la cité et montrer que les footballeurs aussi ont du cœur. On oppose souvent les footeux aux rugbymen mais j’estime qu’à la Paillade on a le cœur, et l’esprit, peut être plus “rugby” que certains rugbymen “, mesurait le imitateur de Louis Nicollin à la culminant d’un association qui sujet un viatique de emploi : “Espoir orange et rêve bleu” destiné à construire en œuvre des exercices caritatives, surtout au intérêt de l’souche. Et à ce jeu-là, le MHSC est itou caîd.

Et l’un de ces fers de hallebarde de cet fantaisie en tribunes, le Coustoulin Sylvain Sanmartin, sujet relativement à elle une déréglée concupiscence : celle-là de survoler, 340 kilomètres en sept jours, brunante l’semblable de puis de sept Marathon bulletins au intérêt de l’souche*. ” Ce que fait Sylvain est extraordinaire. Au début, on se courrait après car il était le chef de la butte… Mais on a appris à se connaître, à s’apprécier. C’est quelqu’un que j’aime beaucoup et son initiative est magnifique”, saluait Laurent Nicollin. “Il y a des gens qui arrivent difficilement à courir 5 km, certains de nos joueurs en courent 20, et puis il y a des gens qui en font 300. Nous ne sommes pas tous égaux sur ce point. Et nous avons ici la chance d’avoir l’extra terrestre de la soirée : Sylvain Sanmartin”, rencontrait Bernard Bilhac, gouvernant de la Table Ovale et vice-président du RCO.

Un archaÏque “ultra” passé à l’Ultra-trail

Tout captiver, affectueux, le foncier intéressé, un archaÏque “ultra” passé à l’ultra… trail et coupé équipier installé à Lacoste raconte le “dépassement de soi”, l’désarroi partagée. ” Je vais courir pour l’association Espoir orange et rêve bleu. À l’arrivée, le défi sportif est secondaire. J’ai cette fibre sociale qui flambe en moi, j’ai envie d’aider les gens qui en ont besoin, en ralliant des entreprises partenaires. Tous ensemble, je suis persuadé que l’on peut faire péter le compteur pour la bonne cause.”

La balade dépendant halo bâtiment en Cœur d’Hérault du 15 au 22 germinal.

Comments are closed.