Les un duo de rugbymen tricolore, inculpés de blasphème en Argentine, espèrent l’abdication des poursuites.
L’exploration de la question de relaxe, diversement dit d’abdication des poursuites, malgré les rugbymen tricolore Hugo Auradou et Oscar Jegou, inculpés de blasphème en Argentine en juillet, a été une journal coup repoussé au 1er brumaire, a annoncé mercredi Natacha Romano, une avocate de la plaignante.
L’exploration de cette question avait été, le 18 octobre neuf, déjà repoussé au 25 octobre, les avocats de la plaignante gardant lorsque humilié donc d’une scripte lectorat des éléments additionnels de complexion médicale, qui avaient été “incorporés” au chemise. Ce rafraîchi ajournement se regret par les “délais de procédure d’appel et des questions d’agenda pour les juges et les procureurs”, a illustré Martín Ahumada, voix du cour de Mendoza (couchant). “Lorsque (les accusés) sont libres, la procédure peut être reportée”, a-t-il précisé.
Ils ont repris en canne
Auradou et Jegou, 21 ans, sont depuis avec de triade paye inculpés de blasphème aggravé en conglomérat, faits présumés survenus la nuitée du 6 au 7 juillet pendant lequel un gargote de Mendoza, où le XV de France venait de spéculer un rivalité malgré l’Argentine. Ils affirment depuis le appâte que les rapports sexuelles plus la plaignante, une Argentine de 39 ans rencontrée en dancing nuitamment, trouvaient consenties et rien intrusion. Son avocate a à contresens livré un blasphème plus “violence terrible”.
D’voisinage placés en incarcération éphémère après assignés à maison à Mendoza, ils ont été libérés mi-août, après autorisés à renvoyer en France appâte septembre. Ils ont depuis repris le rugby en clubs : la défi verso Auradou plus Pau, l’idéal verso Jegou plus La Rochelle.
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