Au Groenland, le sectateur environnementaliste Paul Watson restera en détention jusqu’au 13 brumaire

La séquestration du bras des baleines Paul Watson, arrêté fin juillet au Groenland en allégation d’une examen d’extradition du Japon, a été prolongée jusqu’au 13 brumaire, suivant un reçu de la surveillance groenlandaise publié mercredi 23 octobre.

“Le tribunal du Groenland a décidé que Paul Watson devait rester détenu jusqu’au 13 novembre 2024 afin d’assurer sa présence dans le cadre de la décision d’extradition” que le administration danois doit employer derrière une examen du Japon en affinité plus son bagarre contre les baleines, a justifié la surveillance. L’Américano-Canadien de 73 ans a événement recours.

Fondateur de Sea Shepherd et de la édification en libéralité des océans qui matière son nom, Paul Watson a été écroué après qu’il naviguait à tour de son vaisseau, le John Paul DeJoria, comme le but d’découvrir un bleu navire-usine baleinier nippon.

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Le Japon propagande son extradition, contenant relancé une examen jetée dès 2012 comme une avis vermeil d’Interpol. Il l’accuse d’nature coresponsable de viol et brutalités infligés à tour d’un vaisseau baleinier japonais quelques ans comme tôt comme le enveloppe d’une opération manoeuvre par Sea Shepherd.

Mi-septembre, les avocats du sectateur septuagénaire ont enregistré le Rapporteur personnel des Nations unies sur les défenseurs de l’bruit, dénonçant particulièrement le bravoure qu’il encourt de “subir [d]es traitements inhumains […] dans les geôles japonaises”.

Selon eux, la examen japonaise repose sur des affirmations “fallacieuses”, ce qu’ils voudraient témoigner en accomplissant au palais de Nuuk des anthologie vidéocassette des nouveauté, filmés par la clôture Discovery – une insistance qui à eux a été refusée jusque-là. En injuste, ce infraction n’est pas susceptible de détention comme le main groenlandais, arguent-ils.

“Le processus est lent”

Au-delà de la difficulté du attitude en séquestration, les avocats sont suspendus à la spécification du office danois de la Justice de stopper d’livrer ou non Paul Watson. Le office a justifié à l’AFP que l’check-up de la examen évidente d’extradition trouvait “en cours”, hormis augmenter de carnet.

“Le processus est lent. La police groenlandaise fait son enquête, qu’elle doit transmettre au procureur-général, qui doit faire ses recommandations au ministre”, a publication l’avocate de Paul Watson, Julie Stage, précédemment l’célébrité.

“On veut que le ministre danois prenne enfin une décision. En ce moment, ils le laissent croupir en prison, c’est franchement problématique”, intempérie Lamya Essemlali, présidente de Sea Shepherd France et accessible de Paul Watson. D’après elle-même, les particularité de la séquestration intervalle du sectateur se sont autrefois durcies. “Ils lui ont quasiment coupé tout contact avec l’extérieur. Il n’a plus droit qu’à dix minutes de téléphone par semaine avec sa femme”, dit-elle.

Si Paul Watson est une personne controversée comme le bruit écologisme, particulièrement en allégation de ses méthodes musclées, la adresse demandant sa prorogation en identité a quelque item réfléchi 100 000 signatures. Sur le proposition négociation, Paris a demandé à Copenhague de ne pas l’livrer.

Depuis sa session du coeur carcéral de Nuuk, un masure jaunâtre et ultramoderne localisé à surface de rochers, Paul Watson tableau sa résolution à mot-valise son bagarre.

“S’ils imaginent que cela va empêcher notre opposition ! J’ai seulement changé de navire, et mon navire actuel, c’est ‘Prison Nuuk'”, a-t-il carré fin août comme un abouchement à l’AFP. Les Japonais “veulent m’utiliser à titre d’exemple pour montrer qu’on ne doit pas toucher à leur chasse à la baleine”.

Avec AFP

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