Quelques jours ultérieurement le jeune résolution, le massé#Unis dans Carmaux fustige l’allure et les décisions de Jean-Louis Bousquet.
Tout d’extérieur François Bouyssié rappelle “Pourquoi nous avons refusé de voter le procès-verbal du dernier conseil (12 juin)”.
En motif, une fraude du bailli sur le partie renaissance livresque et périscolaire, une délibération votée le 12 juin, modifiée par le bailli le 4 septembre : “Pour faire entrer les tarifs en vigueur 2 mois plus tôt. Ces tarifs devaient être appliqués à compter de la rentrée scolaire 2024-2025. Cette date a été modifiée pour la restauration concernant notamment les centres de loisirs, pour démarrer le 8 juillet. Cela représente environ 2 500 € sur l’été”.
Sur ce enclin, les élus du massé d’rivalité #Unis dans Carmaux ne souhaitent pas concéder de suites réglementaires. Mais ils préviennent : “On veut révéler l’amateurisme voire l’incompétence du maire, le lien de confiance est rompu. On veut que ces faits soient rendus publics. C’est un dernier avertissement”.
“Problème de justice sociale”
Les élus regrettent l’renforcement des tarifs de la coffre à l’musée, surtout plus la renouvellement du division ancestral fréquenté de la fraction 1 500 à 1 200 dans le échelle du dîner le principalement assistant. “Depuis l’arrêt du dispositif cantine à 1 € mis en place par l’Etat, rien n’a été fait pour permettre des tarifs accessibles aux familles. Certaines enlèvent leurs enfants de l’école. Par ailleurs le règlement intérieur de la restauration scolaire a été durci. Un enfant non inscrit ne peut pas manger. C’est un problème de justice sociale” dénoncent les opposants.
Enfin, les élus revenaient sur l’arrêté communal jeune interdisant la breuvage d’spiritueux sur la sentier authentifiée de 10 à 22h jusqu’au 31 décembre : “C’est un coup de com ! La loi d’interdiction de l’ivresse sur la voie publique est suffisante et cet arrêté ne donne aucun moyen supplémentaire. Nous dénonçons la suppression du financement de la prévention de la délinquance par le maire il y a quelques années (avec pour conséquence le départ du médiateur jeunesse). La détresse sociale des fauteurs de troubles ne peut pas se régler avec des mesures de police. Cette décision stigmatise la population et dégrade l’image de la ville”.
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