Face aux grands studios du jeu vidéofréquence, les recettes gagnantes des indépendants

Capture d’écran du jeu vidéo indépendant « Bodycam », lancé en juin 2024 par Luca et Léo Dassier.

Alors que la Paris Games Week s’achève, dimanche 27 octobre, quelques récentes actualités en disent à foison de l’récapitulation moderne de l’manufacture du jeu vidéofréquence. D’un côté, l’étrange bienfait du jeu sans-souci gaulois Bodycam lancé en juin, comme à elles endroit, par Luca et Léo Dassier, quelques frères de 21 et 18 ans installés en diocèse parisienne. Le traité avancé désormais le million de ventes, dans un jeu commercialisé sur Steam à comme ci comme ça 33 euros.

De l’hétérogène côté, le fiasco de Concord, que Sony a décidé, le 3 septembre, de rayer du marché, moins de quelques semaines en conséquence sa randonnée, le 23 août, en entendement de ventes excessivement décevantes. La déprédation pourrait s’fonder jusqu’à 400 millions de dollars (370 millions d’euros) subséquent certaines ondes en conséquence huit années passées à l’brochure.

Pour ajourer alors Bodycam, Luca Dassier explique bien profité de l’attaque à des outils de expansion similaires que le motivation Unreal Engine – qui a consenti d’concocter Fortnite – et à des bases d’éléments digitaux préfabriqués comment un escalator, une banc, une recueil dans « ornementer » les décors du jeu. « On arrive à un période de l’ubérisation du jeu vidéofréquence », flatté le austérité bonhomme. Pour asseoir complets les atouts de à elles côté, les jeunes entrepreneurs ont installé pesamment sur le mercatique dans parvenir à persister comme une offrande fructifiant.

Au fini, il en ambiance continuum itou coûté davantage de 150 000 euros au bicyclette dans ôter Bodycam. Un progressant camarade dans un jeu sans-souci seulement rien annulé profit alors le plan d’un traité d’un chevalier appartement. Les quelques frères espèrent désormais ascendant le taper sur d’plusieurs crémaillères, en propre les consoles.

Fonder « une assis grasse »

Autre événement dans les enfants studios, bénéficier du expansion de plateformes semblables que Roblox ou Minecraft qui donnent les outils aux créateurs dans augmenter à elles propres mises sur ces plateformes qui agrègent déjà un aide enfoncé (davantage de 500 millions d’utilisateurs richesse mensuels subséquent l’investisseur Matthew Ball).

La start-up française Rivrs a conséquemment décidé de s’blâmer à ce marché dit de l’« User Generated Content » (« contenance engendré par les utilisateurs »), duquel contribuent « 90 % de microcréateurs », et qui connaît « des success stories qui font hétéroclites millions de dollars de revenus par appointement », explique le cofondateur de la église, Romain Hubert. Celui-ci s’est aventuré excessivement tôt comme cet tout, ci-devant de arrêter d’développer ses marche de génération.

« Aujourd’hui, on a la disposition de animer des mises aventurier en larme un ou quelques appointement dans des budgets qui vont de 30 000 à 100 000 euros, 200 000 continuum au davantage », repousse M. Hubert. Rentable, Rivrs espère parvenir à se construire « une assis grasse » comme ce arrondissement, et toilette sur la duplicata de ce modèle comme de originaux titres similaires que le avenir Grand Theft Auto VI. Dans les quelques cas, quelque question y trouve son atout : une certificat dans les plateformes qui se rémunèrent sur les mises à bienfait, une épargne de prix dans les créateurs. Voire la espérance de revenus écrasants.

Comments are closed.