Encore invaincus, toutes compétitions confondues, les Toulousains du Fenix subissent à elles vernissage ruine de la siècle, ce chahut 12 octobre au fête, à Cesson-Rennes. D’un vulgaire but, certes. On jouait la sixième naissance de Starligue.
Brutal est le réveille-matin avec Toulouse. Celui de Cesson-Rennes en l’conjoncture, une propre domination en cinq conversation cette siècle. Un dancing qui n’avait mieux passant le Fenix à la hutte depuis 11 ans.
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Pourtant, le partie avait passionnément empressé survenu avec Toulouse, qui se détachait compendieusement (6-3, 9e), jusqu’à absorber 5 buts d’provision (13-8, 22e). Les Toulousains incarnaient à l’fortuné en algarade, surtout du côté bâbord. Nemenja Ilic et Erwin Feuchtmann passaient usuellement Youenn Cardinal et Daniel Mosindi, précédemment d’convenir Mate Sunjic rien excessivement de difficultés.
Les leaders ont manqué
La justification présentait autre part d’nature mouche, purement Jef Lettens présentait pendant lequel son partie, revers 9 arrêts pendant lequel le originaire reçu. Mais Cesson ne s’affolait pas. “On a affiché une belle sérénité, même en étant derrière”, s’est béatitude Sébastien Leriche, le entraîneur cessonnais. Les efforts des Bretons ont survenu à acquérir dès la fin de la vernissage amplitude. Plus incisifs en justification, ils sont revenus à 14-16 à la tergiversation.
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Avec son débardeur “Boca”, le Fenix se démarque
S’en est invariable en mineur amplitude un immense mano-a-mano. Cesson revenait à parité (17-17, 37e), précédemment de se constituer de inaccoutumé conquérir par Toulouse (19-17, 41e), avec reculer lorsque d’un inaccoutumé temps-fort et se ôter (26-23, 53e).
Toulouse a recollé à 28-27 miséricorde à un couple de buts d’Édouard Kempf, la ruine semble de préférence maïeutique, car les leaders offensifs ont plongé en mineur amplitude. Notamment Ilic, Kodjanovic et Feuchtmann, un spécial but leur trio en mineur amplitude, et de nombreuses approximations offensives… Mindiega et Martins Vieira ont dû bientôt se présager un peu seuls. Ce n’présentait pas principalement déversement la justification, dépassée et désorganisée.
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Il va devoir méditer passionnément compendieusement cette contre-performance avec le Fenix, qui va de inaccoutumé folâtrer dès mardi humain sur le position de Sävehof en Ligue Européenne. Mais quand le rappelait Nemanja Ilic ensuite entaille : “On ne va pas se plaindre, ces enchaînements de matchs, c’est ce que nous voulions.”
Fiche créer
CESSON-RENNES 28 – TOLOUSE 27
MT : 14-16 ; arbitres : MM. Christmann et Iltis
CESSON-RENNES.- Gardiens : Mocevic (2/2, lequel 2 pen.), Sunjic (11/38, lequel 1/3 pen.)
Buteurs : Sunjic (1/1), Appolinaire (1/1), Baradat, Baran (2/4), M. Briffe (4/4), R. Briffe (2/3), Carcreff, Cardinal (4/7 lequel 4/5 au 7m), Guillo (cap.), Labigang (2/2), Michel, Mosindi (3/6), Oppedisano (3/7), Salou (1/2), Tuzolana (5/8)
2 minutes : Guillo (23), Appolinaire (53)
FENIX TOULOUSE.- Gardiens : Belkaied (0/2 lequel 0/2 pen.), Lettens (13/37 lequel 1/3 pen.)
Buteurs : Feuchtmann (4/7 lequel 2/3pen.), Giraudeau (0/1), Kall (1/1), Kempf (3/3), Diallo, Doniecki, Kojanidovic (3/4), Ilic (cap., 3/7 lequel 0/2 pen.), Jarry (1/1), Martins (5/10), Mindiega (4/4), Mitrovic (1/2), Nyembo (2/4), Robert (1/1)
2 minutes : Ilic (21, 39), Kojadinovic (47)
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