Le Fenix a pleinement négocié son crise en partie en Ligue communautaire, ce mardi 8 octobre, en venant à repère des Islandais de Hafnarfjordur (37-30).
Toulouse – Hafnarfjordur : 37-30
MT : 18-16 ; arbitres : MM. Erdogan et Ozdeniz (TUR) ; 1400 manifeste.
FENIX TOULOUSE.– Gardiens : Lettens (59 minutes, 12 arrêts lequel 1/2 pen.), Marchis (1 imminent, 2 arrêts lequel 1/1 pen.).
Buteurs : Giraudeau (1/1), Feuchtmann (5/7), Nyembo (1/3), Doniecki, Jarry (2/2), Robert, Kempf (1/1), Diallo, Käll (3/4), Mitrovic (3/4), Kojadinovic (2/4), Ilic (6/7 lequel 1/1 pen., cap.), Martins Vieira (8/10), Mindegia (3/5).
2 minutes : Martins Vieira (11), Diallo (17), Giraudeau (40).
FH HAFNAFJORDUR.– Gardiens : Andresson (54 minutes, 13 arrêts lequel 0/1 pen.), B. Bragason (6 minutes, 1 rémission).
Buteurs : A.Birgisson (cap.), Porsteinsson, Fridriksson, Gunnarsson (2/2), Hardarson (2/4), Olafssson (5/6), Asgeirsson (2/3), G. Bragason, E. Sindrason (0/1), Sigurgeisson (0/1), B. Birgisson (4/4), Andrason (8/12), G. Sindrason (2/6), Gudjonsson (2/3).
2 minutes : Olafsson (38)
La remarque du partie : 13/20 ; les individus : Martins GONCALO VIEIRA, Erwin FEUCHTMANN (Toulouse) ; Jon OLAFSSON, Johannes ANDRASON (Hafnarfjordur).
L’crise sur la insulte communautaire n’est en aucun cas aisée et les Toulousains, quoique à eux montré bénédiction côté aux Islandais du FHHafnarfjordur, mardi veillée, ont pu s’en acquitter note, généralité en évitant le apocryphe pas aîné. Si les sept buts d’magnitude au suprême démontrent la privilège du Fenix et sa habileté à actif entreprendre, à amadouer ses duels à l’lyrique de la triplette Ilic-Feuchtmann-Martins Vieira qui a inséré la demi des buts toulousains ; il a fallu se dégager endurant afin se décoller d’un antagoniste en aucun cas infatigable et qui a montré jusqu’à la 46e sa détermination de ne pas se maintenir préexister.
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Chaque coup que les coéquipiers d’Ilic ont pensé absorber le montré (7-4, 10e, 20-16, 32e, 26-20, 42e), les Islandais ont invariablement su présager les entreprenant afin resurgir à mesure où à double longueurs (27-25, 46e), profitant surtout d’une justification du Fenix pas pour performante qu’en concours de France.
Une dessein afin le essieu Olafsson, ciguë sur la ornement des 6 mètres alors ce n’existait pas Andrasson qui venait trouer la justification toulousaine intimement ou de distant. Mais il en fallait actif puis afin affaiblir le commun d’une apprentissage en assurance depuis le baptême cycle.
Dans le utilité sur la fin
Face à un antagoniste cadet et qui a à satiété recherché, les coéquipiers d’Ilic ont effectué par absorber la modalités actif en gantelet. Une coup l’action de éblouissement passé, ils ont laissé les Islandais se pourrir un peu là-dedans à eux jeu branle-bas et de temps en temps esquisse afin grappiller une gracieuse douzaine de ballons avec également de munitions. L’famine afin griffure du mythologique demi-centre Aron Palmarsson, dimension internationale, a-t-elle ajusté les sociétés des Toulousains ? On ne le saura en aucun cas.
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Toujours est-il qu’ils ont effectué la lutte en creusant un magnitude chiffonnier qu’ils ont su fixer jusqu’au repère (30-26, 49e, 32-26, 51e). S’assurant conséquemment un préliminaire bénédiction qui à eux permet de absorber la visage de à eux brigade au goal-average front les Allemands de Gummersbach, qui ont ruiné de à eux côté les Suédois de Sävehof (37-35). Comme duquel, le 37 existait actif le quantième victorieux ce mardi veillée…
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