Des élus de Graulhet et des travailleurs municipaux sont auditionnés depuis une semaine à la police de Castres là-dedans le boîte d’une inquisition origine jambage sur des soupçons de prédilection, de duel d’intérêts et d’manutention frauduleuse d’capital révélé.
La conduite du incinérateur Léo Lagrange de Graulhet, union fictif de la état, est soutenant tuée au bluté, séquelle à des soupçons de indécis crédit et de surfacturation. Une inquisition origine a été directe par le plaignant de la Patrie de Castres vers prédilection, conflits d’intérêts et manutention frauduleuse d’capital révélé. Elle a été confiée aux gendarmes de la escouade de recherches de Castres, qui auditionnent des élus graulhétois par conséquent que des prolétariat de la état.
Les enquêteurs s’intéressent aux rejeton — politiques, personnels ou familiaux — qui existent pénétré la commune et la organisé. Car le incinérateur Léo Lagrange et la commune de Graulhet ont des procès-verbaux étroites depuis de nombreuses années. Cette union a lentement été un des cales de la habileté sociale de la état, tracassant une prolixe section des subventions municipales.
Le incinérateur Léo Lagrange assure une fonction permanencier révélé au écusson de la caparaçon administrative ou juridique de l’provenance. Il accueille des jeunes en accident, assaisonnant de l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE), une qualité du assemblée départemental. Les somme d’folie sont aussi accommodé en commission par le Préfecture. Le incinérateur aurait-il augmenté fictivement le abondance de Mineurs Non Accompagnés (MNA) accueillis ? La mairie aurait-elle fermé les mirettes ? Dans laquelle but ?
“Ce sont des sornettes”
Ces questions se trouvent au cœur de l’inquisition, déclenchée séquelle au signal d’un élu communal, Kamel Bataoui, qui a depuis quitté la maturité municipale. Celui-ci s’épaule sur les confidences qu’aurait recueillies, un divers élu, Saïd Mehdi, contre d’un suranné patron du incinérateur. « Ce sont des sornettes. Nous totaux surveillés dans le lait sur le feu, envers des contrôles intégraux les mensualité et pinte. Nous totaux des individus fidèles », réagit Guy Peyre, gouvernant du incinérateur Léo Lagrange.
Toujours est-il que Kamel Bataoui a participé à un couple de entrevues, en brumaire 2022 et janvier 2023, où il a confronté le magistrat de Graulhet, Blaise Aznar, à ces soupçons de surfacturation. Ces conversations ont été enregistrées à l’insu du magistrat et transmises à la droiture. Sur ces enregistrements, que nous-mêmes avons consultés, Blaise Aznar semble choir des calotte. Il s’angoissée puisque des répercussions politiques que pourraient ressources de similaires révélations, puis qu’un de ses interlocuteurs le insistant de motiver l’partie 40, qui taxé aux fonctionnaires et aux élus de marquer rien souhait ensemble faute ou transgression laquelle ils auraient psychologie là-dedans l’occupation de à eux tâches. Cette même clause du glossaire de secret pénale qui a conduite Kamel Bataoui à affaisser un signal au Parquet.
Hasard du agenda ? Parallèlement à cette inquisition origine, le incinérateur Léo Lagrange et la sommaire de Graulhet font puisque l’question d’une contrôle de la Chambre régionale des factures (CRC). Sollicité par la Bruit du Midi vers contester à ces enquêtes, Blaise Aznar ne s’est positif que sur cette dernière : « L’union Léo Lagrange événement soutenant l’question d’un vérification de la Chambre régionale des factures, ce qui est compréhensible et perpétuel vers ce genre d’union qui mène ses exercices en section amnistie à de l’capital révélé. J’ai libération les vérificateurs la semaine dernière vers prétexter à à eux questions, dans rien prémonition les étranges institutions qui financent. Nous répondrons à toutes à eux sollicitations en toute embrasement. »
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