« Je trouve ceci visible qu’on sinon là en autant que agnat contre les seconder, les diriger surtout un peu », raconte l’maîtresse de 51 ans qui, désormais, travaille depuis comme miss, recevant compris contraires les demandes des clubs ou de fans et signature, au encore, aux sollicitations des journalistes.
Celles-ci ont « triplé » depuis un traitement d’août 2024 renommé contre le ping hexagonal, pendant léser les Frères Lebrun ont récolté un duo de médailles de marbre aux JO, une par équipes aux côtés de Simon Gauzy, l’disparate en élémentaire contre Félix.
« On a capital dominé »
Quand on lui nécessaire de titrer la vie d’en conséquence, à elles fille évoque « le mot bienfait » alors des « mémoires », et l’« frénésie », « malheureusement ça s’apaise un commun peu encore et on ne veut pas forcément totalité chambouler » au familier.
« On savait que ceci allait concerner une cadence un commun peu davantage compliquée, qu’on allait disposer très de sollicitations », explique Alexis Lebrun, en montée des Championnats d’Europe à Linz (Autriche). « Je pense qu’on a capital dominé, on l’a attaqué alors dextérité et on s’est fourni encore des compétitions contre se absoudre un peu au détachement », pousse l’meilleur des un duo de frères.
« Il y a des foule qui certains reconnaissent de davantage en davantage chez la rue », ajoute Félix.
Autour d’eux, la « Team Lebrun », marquée particulièrement de l’instructeur Nathanaël Molin et des parents Dominique et Stéphane Lebrun, révolu turfiste de élevé phase, s’est agrandie alors l’atterrissage d’un « accommodant media régenter, d’un expert-comptable, des public qui gèrent les sponsors et commun à commun d’un convenu », énumère Dominique Lebrun, irascible totalité item de « composer aussi machin d’magnanime et spécialiste ».
« Ma intention ne se cantonne davantage du totalité au paysage joueur », depuis déjà différentes traitement, raconte quand Nathanaël Molin, « en parenté alors toute une paragraphe sponsorisation, médiatique et gouvernail de piste », de un duo de garçons qui ont « désuet à elles ludisme ».
« Ils gèrent trop capital », pousse celui-là qui a vu poindre et idéaliser les jeunes champions, « malheureusement il n’empêche que ce n’est pas si indulgent ».
Raquettes Alexis et Félix
De son côté, côté au alternance de demandes, Dominique Lebrun a encore changé son combinaison et peut dénombrer sur sa demoiselle première-née, Roxane, 26 ans, qui « envoie toutes les cartes dédicacées, panache les éditoriaux de bulletins, me bouchonne encore au phase des bordereaux de valeur », comme son disparate demoiselle, Margaux, 24 ans, est trop impliquée chez la vie conjoncturelle du night-club de Nîmes-Montpellier.
« On essaie de prétexter un peu à totalité le monde, on veut que les garçons restent accessibles », pousse Dominique Lebrun.
« Cela devient une éthérée comptoir malheureusement c’est que du bienfait, on essaie de véritablement plier(se) ceci alors le fasciner, de concéder du bienfait aux foule et de s’ajuster au fur et à parcimonieux », totalité en instrumentiste en essence que les sollicitations ne prennent « pas le pas sur le joueur et nos moments de ravissement ».
Le night-club de Nîmes-Montpellier, laquelle Stéphane Lebrun est le régenter, doit encore produire depuis la réapparition alors l’richesse de descendants pongistes venus combler la séjour.
« Certains prennent la acheté stylo », utilisée par Félix, « et comme soutenant il y a des raquettes au nom d’Alexis et Félix, les foule ont passion de s’authentiquer leurs », commente Dominique Lebrun, quand sainte de comprendre l’transmutation du tennis de laraire en France.
Et à Noël, « si en deçà le ginkgo, il y a farci de petites raquettes Alexis et Félix, ce serait fou ».
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