La instigatrice départementale environnementaliste énervé au mâchicoulis ensuite l’édite de nouvelles paliers immatérielle depuis l’altiport de Nîmes.
On s’étonnait de l’indigence de ruade des écologistes sur l’tampon des sept nouvelles paliers premièrement de Nîmes, lesquels certaines ne sont pas si lointaines. Une baptême ruade est vision, signée de la instigatrice départementale Dominique Andrieu-Bonnet. “L’annonce de l’ouverture de sept nouvelles lignes à l’aéroport de Nîmes pose question”, écrit-elle.
“Voyager mieux”
“Le secteur des transports émet 28,7% des émissions de gaz à effet de serre ; il est le plus important avant même l’agriculture et les activités industrielles. Au sein des modes de déplacement, l’aérien est le plus émissif par passager : 1 km parcouru en avion émet ainsi autant que 52 km en TGV en termes d’équivalent CO2 selon l’Ademe. Au regard de ces chiffres, les nouvelles liaisons aériennes ouvertes avec Barcelone et Nice, pourtant accessibles en train depuis Nîmes en respectivement 3h45 et 4h, paraissent aberrantes. Cette situation s’explique par l’absence scandaleuse de taxation sur le kérosène aérien, et par les pratiques des compagnies low-cost qui aboutissent à des prix anormalement bas. Pourtant quasiment plus personne n’est dans le déni par rapport à l’empreinte carbone des voyages et du tourisme. Malgré cette prise de conscience grandissante, les solutions ne sont pas toujours mises en œuvre.”
Et d’augmenter qu'”il est temps pour les voyageurs non pas de se priver de découvertes mais plutôt de voyager mieux, peut-être moins souvent, moins loin et sur des durées plus longues, et avec des transports moins carbonés. Quant aux professionnels du tourisme, il doivent faire évoluer leur offre pour perdurer.”
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