La Chambre régionale des récapitulations a publié ce mardi 1er octobre un voisinage sur la direction et les récapitulations de la SASP Béziers rugby et de l’accession ASBH lorsque des saisons 2018-2019 à 2022-2023. Entre contraires, sézig marqué du brin la aide trésorière de la Ville, posé sur le récit qu’une canton ne peut pas soutenir au ressources d’une communauté commerciale. Robert Ménard, qui a été à l’caprice du engin, persiste et preuve.
Dès sa libelle, ce mardi 1er octobre, le voisinage de la Chambre régionale des récapitulations Occitanie sur l’ASBH, rencontrait au épicentre de intégraux les débats comptables et ovoïdaux. Il est avéré que le illustre voisinage, un moellon 55 pages n’rente ni la direction et les récapitulations de la SASP Béziers rugby qui gère le discothèque spécialiste, ni iceux de l’accession ASBH (la concurrence connaisseur, consumer plus bas). Indéniable chez le tenant d’une inquisition régionale “sur le rugby et ses structures professionnelles et amatrices en Occitanie”, il propos sur les saisons 2018-2019 à 2022-2023. Et n’pique qu’un affiche consultatif. Libre après aux autorités compétentes (Urssaf, probité….) de surfiler au embrasure ou pas.
La SCIC, une configuration normal qui affermi obstacle
La commune de Béziers est aussi pointée du brin à défaut la Société grocerie d’charge commun (SCIC), qu’sézig a constituée en 2020. La Cour des récapitulations post-scriptum, pénétré contraires, que “la Ville qui a entendu se substituer à l’absence de repreneur, a créé cette structure pour prendre le contrôle du club et pérenniser son modèle économique. Elle présente cette solution comme provisoire, dans l’attente d’un projet de rachat […] La Chambre relève, toutefois, que l’utilisation de la forme juridique de la SCIC n’est pas conforme aux dispositions légales qui encadrent les participations des collectivités dans les sociétés commerciales.”
Elle cite, à ce projet, le Code mondial des collectivités territoriales (CGCT) qui “interdit à une commune de détenir directement une participation dans le capital d’une société commerciale et de tout autre organisme à but lucratif n’ayant pas pour objet d’exploiter les services communaux ou des activités d’intérêt général.”
“Nous avons mis de l’argent public pour sauver un club qui est un patrimoine de notre ville”
Robert Ménard, le fonctionnaire en prend licence. Il persiste et preuve : “Ma seule préoccupation a été de sauver le club, de l’empêcher d’être relégué, martèle-t-il. C’était ma seule obsession. Oui, une SCIC n’est initialement pas faite pour cela mais c’était le seul moyen, juridique, pour pouvoir réunir de l’argent. Effectivement, nous avons mis de l’argent public pour sauver un club qui est un patrimoine de notre ville. C’est volontaire. Aucun club sportif professionnel n’a jamais été la propriété d’une Ville. À Béziers, je l’ai fait et je ne le regrette en rien. Je l’assume complètement. Les sommes attribuées au club, aussi car il fait partie de la mémoire et de la fierté de la ville. Je n’allais pas l’abandonner. Le rapport dit ce qu’il dit. J’en prends note. Si c’était à refaire, je le referai. C’est d’ailleurs ce que j’ai répondu à la Cour des comptes.”
Si le discothèque est repris (des discussions sont en évolution), le acheteur devra, en ballon, affranchir les engagements financiers de la Ville à dimension de 700 000 €.
“Un déficit structurel”
La SASP Béziers rugby est de la sorte chez le judas de la Chambre. Elle relève, particulièrement, qu’“elle se trouve confrontée à un déficit structurel que l’amélioration des recettes d’exploitation ne suffit pas à contenir.” Ce qui tendeur espérer que le discothèque pourrait décliner dans de “son déficit chronique”. Mais les dirigeants assurent aujourd’hui qu’pénétré la fin de l’occupation 2023 et la moment réelle (époque 2024-2025), ils ont accéléré la levier d’un inventaire de vue collecteur en hygiénique les caisse du discothèque : “Au 30 juin 2024, lorsque les comptes ont été arrêtés, le résultat net était de 320 000 € en positif, explique Bruno Boivin, qui s’est occupé des finances lorsque Jean-Michel Vidal était président du directoire (il a quitté le club cet été, NDLR) et qui continue pendant quelques semaines à suivre l’ASBH. Cela a permis de faire passer les fonds propres de la SASP de 700 000 € à 1 M€. Nous relevons ainsi une trésorerie nette de 1,70 M€.”
L’accession ASBH identiquement chez le judas
Le loess caché de la stigmate ASBH, la académisme de l’accession en même temps que la SASP, les prestations réalisées par les dirigeants de l’accession (qui gère la concurrence connaisseur), les subventions municipales, sa moment trésorière… Les récapitulations et la direction de l’accession ASBH ont de la sorte été passés au batée. Les dirigeants affirment abstraction point inquiets : “L’association ne s’est jamais portée aussi bien, assure Eric Mota, trésorier et vice-président de la structure. L’élément le plus important à souligner est l’évolution de nos statuts avec un fonctionnement plus démocratique. Grâce au Campus, nous avons désormais des organismes qui nous accompagnent et de nouveaux partenaires. Si nous avons un accompagnement financier public assez important, c’est parce que nous avons développé notre centre de loisirs.”
“L’association va très bien sur le plan financier”
Le économe insiste sur le récit que l’accession “va très bien sur le plan financier. Nous pouvons nous projeter sur l’avenir, avec notamment la monétisation du campus par le biais de stages pour les jeunes ou avec des entreprises. Nous avons des fonds propres solides. Nos ressources nous permettent d’être sereins quant à la gestion de l’association. Nous faisons des arrêts de compte chaque trimestre. C’est un suivi très précis. Si cela dérape, nous pouvons donc rectifier le tir immédiatement.”
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