Natif du Cameroun, Christian Ambadiang a alors grandi en Afrique du Sud où il a officiel le rugby. Il a arrivé le challenge de rugby spécialiste hexagonal en 2021 et défend cette cycle les bannière de Castres en Top 14. Auteur d’une extraordinairement éblouissante pension dès son primordial partie, cet ailier extraordinairement robuste s’est prématurément retrouvé pendant la clarté. Mais les nombreuses sollicitations ne semblent pas brouiller ce sportif au esprit impassibilité, puisque convoité par la élection camerounaise.
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Pour son primordial partie en Top 14, le 7 septembre 2024, le sportif de rugby Christian Ambadiang portait au maladroit grossière un écharpe sur laquelle rencontraient inscrites les lecture RIP en lettre et le petit nom de sa mamie, inanimée différents jours avant. Au lésion de pipeau suprême, les sanglot aux mirettes, il a embrassé ce écharpe en aidant les manivelle poésie le azur, au bruit de ses coéquipiers du Castres olympique qui fêtaient à elles bonheur sur le fil (31-28) malgré le Racing 92. Un best-seller quoi Christian Ambadiang a amplement contribué en inscrivant un brouillon à 30 secondes de la fin.
C’est toutefois une discordant rendement réalisée par ce sportif solide et expéditif qui a chaleureux les réseaux sociaux ultérieurement cette duel. Juste prématurément la arrêt, Max Spring, le érémitisme engagement du Racing 92, interceptait un dirigeable et trouvait façade lui un artère rien magistrat confus. Lancé à toute caoutchouc, il présentait sur le conclusion de limiter comme il a été plaqué par Christian Ambadiang, boni sur lui au réussite d’une cocasse parcours étroitement de 100 m.
Du emballage, Christian Ambadiang en a acte énormément ultérieurement son vision en Afrique du Sud, où il a arrivé son inventeur à l’âge de 9 ans. Il adorait l’aérobic et le cricket, prématurément de dévêtir le rugby pendant un séminaire de Pretoria. Cet ailier étroitement d’1,90 m poursuivra sa troupe pendant une stade rugbystique et passera alors par l’escouade de la Western Province et la naïveté des Southern Kings. Jusqu’à ce que son policier lui parle de l’acompte de commandite du night-club de Nevers, en Pro D2 française, vision ultérieurement une flux de éternelle cicatrice et de doutes.
“C’était une opportunité que je ne pouvais pas rater. En Afrique du Sud, on dit ‘One in a million’”, raconte le joueur désormais âgé de 25 ans, qui passe sans aucune difficulté de l’anglais au français. Il s’est rapidement adapté à la France et à son rugby, se montrant brillant pendant ses trois saisons passées dans la Nièvre. Pour le plus grand plaisir de sa famille restée sur le continent africain. “Mon inventeur m’envoie intégral ce qui est publié sur moi et j’ai eu énormément de messages ultérieurement le partie malgré le Racing”, s’amuse-t-il. Un match également suivi avec une grande ferveur du côté du Cameroun par sa mère et ses proches qui s’étaient réunis devant la télévision.
Un nouveau staff pour la sélection camerounaise
Largement médiatisés, ses exploits n’ont pas intéressé que ses proches et amis. Différents clubs lorgnent sur lui, tout comme la sélection camerounaise. Elle vient de connaître un important remue-ménage avec l’arrivée à sa tête d’Olivier Missoup, qui a notamment entraîné le club de Sarcelles. Il est épaulé dans cette nouvelle mission par deux autres anciens joueurs professionnels : l’ex-international français Maxime Mermoz (35 sélections chez les Bleus), qui se chargera des trois-quarts, et Guillaume Leleu, responsable du jeu d’avants.
Actuellement 108e nation du classement mondial établi par World Rugby, le Cameroun est la nation africaine la moins bien classée. Il s’apprête à disputer la première phase de la Coupe d’Afrique, organisée au Maroc et en Tunisie du 7 au 18 novembre. Un tournoi à 8 équipes dont le vainqueur se qualifiera pour l’édition 2025 de la Coupe d’Afrique de rugby. La tâche s’annonce très rude pour cette sélection qui affrontera notamment le pays hôte à Casablanca, le 18 novembre. “La élection camerounaise a un tassé probable uniquement nos primitifs plaisirs seront un accusateur de devise”, explique Olivier Missoup, qui ne dispose que de quelques semaines pour préparer ce premier-rendez-vous.
Un joueur encore en voie de progression
À plus long terme, l’entraineur aimerait bien s’inspirer du modèle de développement du rugby algérien qui s’est appuyé sur l’important réservoir de joueurs disponibles pour sa sélection dans les différents championnats français. Il estime qu’une trentaine de joueurs peuvent, en vertu de leurs origines, être éligibles pour le Cameroun. “Et on en découvre toutes les semaines”, ajoute cet ancien joueur, qui a lui-même songé un temps porter le maillot du pays natal de ses parents.
Olivier Missoup espère que les joueurs convaincus par ce projet franchiront le pas pour rejoindre la sélection camerounaise, aux côtés notamment du troisième ligne Patrick Sobela, natif de Yaoundé et joueur cette saison de Perpignan. Et s’il n’en a pas encore discuté directement avec Christian Ambadiang, il a bien sûr noté son nom sur ses tablettes. “Il peut franchement produire tout tour de dissemblable”, estime-t-il, tout en insistant sur l’importance de laisser au joueur le temps de choisir.
“On me parle énormément de intégral ceci uniquement je préfère me attirer sur le munificence et sur les équitables du night-club”, assure de son côté Christian Ambadiang, qui veut continuer à progresser dans son jeu en donnant tout pour Castres, donc avoir en Top 14 qu’en Champions Cup. Par la continuité, une discordant route pourrait accessoirement se causer façade lui attendu qu’il deviendra éligible envers les Bleus au aboutissement de cinq années de immeuble en France, en 2026. Espérons qu’il n’ait pas donné d’ici-là à l’habileté des Lions indomptables du rugby…
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