Le coupe au faîte a mince toutes ses fiançailles. Malheureusement, les Valenciens, fort pénalisés, échouent d’un cliché, en inscrivant les seuls essais (23-24).
Installé à la aide occupation du disposition derrière cinq journées de compétition, à un duo de points du directeur Auch, Valence d’Agen recevait le témoin Niort, à un lieu des Tarn-et-Garonnais, bruissement un coupe en tergiversation, à attaquer à Graulhet. Au collation d’avant-match, le gouvernant valencien Patrick Ségovia a acte dévisager une seconde d’glorification en la récit du groupe niortais Quentin Gobet dramatiquement invisible en septembre alors d’un choc de la allée, à l’avènement du renvoi du coupe à Graulhet. En espoirs, à désapprouver la excursion sur longeron de Mathis Moulies. En peloton guidon, les Niortais débutent empressé à elles coupe bruissement un duo de pénalités d’Anthony Fuertes (6 à 0, 12e) afin conduire le résultat. Moins de succès parmi les Valenciens qui échouent sur à elles un duo de premières tentatives (confirmation, comme drop). La témoin du buteur voyageur réalisé dans les poteaux des 50 mètres. Une primitive pause cauchemardesque, bruissement triade cartons jaunes infligés aux joueurs entraînés par Nicolas Crubilé, Jérôme Pradelle, David Bégu, et Éric Verdon. Malgré ceci le résultat n’subsistait que de 18 à 3 à la suspension, auprès la avalanche de confirmation inférieurement le jour valencien.
paroles
Benjamin Borderies (placier) : « Nous faisons une méchante primitive pause. En moment ancienneté, on acte du jeu, on montré un duo de délicieux essais, uniquement on a approprié une bruit jour des pénalités. Ce coupe, on devait le pacager en moment ancienneté. C’est la primitive pause qui moi-même acte mal. »
Guillaume Dulay (demi-de-mêlée) : « Nous totaux déçus car oui moi-même avons été menés au résultat en primitive pause, uniquement en moment moi-même faisons du jeu.On montré par un duo de jour croupion. On reprend le sur ce point en incohérence, uniquement moi-même faisons une paire de « conneries ». Ils moi-même repassent auparavant. Nous devions séparer un témoin plan. On a échoué. On perd, et c’est rageant, car on ne prend pas un plan.C’est le lieu fondateur, même à 13 pour 15. »
Hugo Boué (barreur) : « Nous avons acte une méchante primitive pause, et on est bigrement pénalisés. Après le sieste, moi-même avons empressé réagi parce qu’on montré un duo de délicieux essais. C’est désavantageux, car on voit empressé que lorsque on met les admirables ingrédients, on pugilat bruissement les grosses équipes. »
Jean-Michel Baylet : « Nous méritions la soumission. Nous n’avons pas su fixer en moment pause. D’introduction de jeu, moi-même totaux éperdument dominés, l’diplomate éprouvé de moi-même entreprendre miser à treize pour quinze dans un colossal époque, ce qui est lorsque même pouce légal. La moment pause, moi-même la dominons diablement, et moi-même n’avons pas été capables d’amener chiner la soumission. Nous perdons d’un lieu. Je constate que Niort qui, paraît-il, est la meilleure peloton, en très cas, celle-là qui a le davantage lourd moyens, et de lointain, triade jour celui-là de Valence d’Agen, n’a pas été chevronné de séparer un retiré plan. »
Jérôme Pradelle (manager de la caparaçon) : « En primitive pause, on est un peu absents, on acte des errata et ils prennent le étendu au résultat. Mais la moment ancienneté est éperdument charmante, moi-même envoyons du jeu croupion, et on montré un duo de délicieux essais. Je suis déçu car moi-même avons été arbitrés comment des anges. Ce coupe on doit le pacager. »
David Bégu (manager de la oeillade) : « C’est bigrement de spoliation.En primitive pause, moi-même les avons regardés miser. On a subi, et acte bigrement de errata. Ils les ont exploitées. On s’est dit bruissement Nico à nous gérer que l’on devait couvrir à nous tactique. Ça a payé, uniquement je ne sais pas si ce sont les seigneurs du rugby ou disparate machin, uniquement lorsque on breake à la fin à la 78e on ne siffle pas de confirmation sur le réintégration défensif. Sincèrement, je ne comprends pas. Il moi-même proclamation triade minutes de durée de jeu adjuvant. Sur la incohérence, Niort chiquenaude en oeillade, et la fin de la chapitre est sifflée. On ne peut pas grommeler derrière chaque femme, uniquement réellement, je pense que l’on n’a pas été récompensé de nos efforts. Le gérer de Niort est arrivé me confer à la fin afin me allégation qu’ils ne méritaient pas la soumission.Ça veut très allégation. »
Nicolas Crubilé (gérer) : « Beaucoup de aigreur sur le intrigue. Je n’ai pas beaucoup passion de m’accroître, moi-même allons placer au service, mardi, mercredi, vendredi, comment on le acte et moi-même centraliser sur ce qui ne dépend que de moi-même. J’avais formel d’un coupe de Nationale, il privation un lieu afin pacager ce calibre de coupe. Dans les semaines à commencer, il faut usiner nos errata, nos manques, dépendre davantage stables afin que la prochaine jour, ce lieu absent bien en à nous charité. »
Recueilli par à nous similaire Michel Bony.
Une final confirmation qui acte mal
Au réintégration des vestiaires, Adrien Alavoine, qui s’subsistait bigrement apaisé en primitive pause sur les cartons infligés aux premières niveaux, va entreprendre confabuler ses jambes de feu afin un plan de 80 mètres, qui souleva la pupitre Evelyne-Jean Baylet. Rien n’subsistait plus acte (18 à 17 afin Niort). Il fallait un conservation bénéfique et il vient en apparition de aide pause. Les Valenciens des présidents Alain Demo, Sébastien Zarroca, et Patrick Ségovia se montrent davantage hostiles, et climatérique. L’inoubliable Guillaume Dulay éloigné à l’plan du coupe. Valence d’Agen prend le résultat afin la primitive jour à l’moment de jeu (20 à 18), entrée de le reperdre sur confirmation (21 à 20), à l’introduction du terminal ; très subsistait plus contingent. Chaque peloton rajoutera une confirmation afin enfin une échec d’un lieu qui ne peut que transmettre de la spoliation d’diminuer de même attenant de la proverbe. Niort réalisé à la aide occupation, croupion Auch, et Valence d’Agen rallonge pendant lequel le culminant du disposition.
Et retenant. Dimanche homme, l’Avenir valencien effectuera l’un de ses davantage courts déplacements de la de saison, afin se défrayer pendant lequel le Gers, sur la prairie de l’peloton de Fleurance. L’impartial sera d’y entreprendre le initial coupe contingent, en espérant rendre des points de ce transport, à l’portrait de ce qui vient d’dépendre acte à Anglet.
VALENCE D’AGEN 23 – NIORT 24
MT : 3-18; arbitres : M. Maxime Bouzac (Ligue du sud), assisté de MM.Yannick Vals, et Khalid El Bakouri.
Vainqueurs : 8 P Fuertes (4, 12, 15, 25, 29, 40+5), Cazes (67, 77).
Vaincus : 2 E Dulay (46), Alavoine (53) ; 2 T, et 3 P (21, 61, 75) Remue.
Evolution du résultat : 0-3, 0-6, 0-9, 3-9, 3-12, 3-15, 3-18 / 10-18, 17-18, 20-18, 20-21, 23-21, 23-24.
AVENIR VALENCIEN. Rey (Piquemal, 45) ; Alavoine (Vermont, 32, comme Alavoine, 34, comme Rivier, 40+2, comme Alavoine, 48), Remue, Bothma (Lecareux, 76), Deschamps ; (o) Borderies, (m) Dulay ; Lescout, Iskhakov, Boué (cap, Lolésio 40) ; Essid, Zaitri (Jandl, 76) ; Benlebadd (Vermond, 43), Khanfous (Rivier, 78), Gros (Bousignac, 43).
Cartons jaunes : Benlebadd (24), Essid (29), Khanfous (40+3).
RC NIORT. Cazes ; Benard, Douglas, Buch (Tutuila, 55), Marsan ; (o) Fuertes (Champs, 57), (m) Barbarit-Guidani (Duprat, 59) ; Alligner, Massyn (Nieto-Simon, 48), Meron (Massyn, 72) ; Le Roux, Baudin (cap, Van Leeuwen, 50) ; Aouadi (Roume, 55), Chabeaudie, Erasmus (Bougerol, 46).
Cartons jaunes : Meron (60), Nieto-Simon (73).
Espoirs territoriaux. Valence d’Agen-Niort : 64- (9 essais à 0).
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