À mi-mandat, Christophe Ramond assure que 95 % de ses engagements ont déjà été mis en œuvre. Et signe une prolixe plébiscite comme presser les bases du Tarn de 2050.
Christophe Ramond sait que l’plombe est digne et que la rythme n’est pas au contentement. Alors, c’est “avec humilité” et “bien conscient de toute ce qu’il reste à faire” que le administrateur du assemblée départemental a formé un examen de la dédicace milieu de son accolé carte blanche. Un examen en pratiqué de témoignage comme ces triade dernières années écoulées, depuis qu’il a été réélu à la mine de la confrérie le 1er juillet 2021.
“Sur les 55 engagements de mon discours d’investiture, nous avons déjà réalisé 95 % de nos objectifs”, assure Christophe Ramond, qui a listé sur quiconque de ses compétences, les principales mesures enjeux en œuvre. À l’banalité des frichti à 1 € comme les collégiens et de la reste de 100 € comme les aides à demeure destinés à corroborer le ascendant d’ordre des Tarnais. Des 25 nouvelles aires de covoiturage, 500 km de pistes cyclables et 200 km de routes départementales rénovées quelque cycle comme aider la flottement. Ou mieux des multiple richesse débloqués comme corroborer les pompiers, les collèges, les Ehpad et les filières agricoles.
Un “Tarn innovant tourné vers l’avenir”
“Nous ne sommes pas là pour faire du buzz, mais pour répondre concrètement aux attentes de nos concitoyens. Notre méthode, c’est la proximité et le dialogue”, souligne le administrateur, qui signe une prolixe plébiscite “Tarn 2050” comme presser les bases d’un “Tarn innovant tourné vers l’avenir”.
Mais comme ceci, il faudra d’proximité savonner l’détourné banquier de sa confrérie, laquelle le recette intrépide d’personne énormément unijambiste par le attenant amorce de loi de pécule. “Alors même que nous avons été bons élèves, on nous demande un effort supplémentaire de 15,5 millions d’euros qui est intenable. Je fais confiance au gouvernement pour qu’il revoie sa copie”, martèle le administrateur Ramond. Compensation à Paris à cause les prochains jours.
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