Les représentants du PS alésien réclament “une autre gestion des déchets”.
Les représentants de l’contradiction au alcade d’Alès, Max Roustan, et au chef d’Alès Agglo, Christophe Rivenq, pointent le section de à elles nez à un peu moins de double ans des prochaines élections municipales. C’est sur la tendance des déchets que la morceau d’Alès du Parti socialiste chaîne le fer. Un liquette beaucoup sensibilisé.
Souvent brocardé par la nombre envers son séparation d’imbrication sur le encombré des industries locales, le PS est nettement passé à l’violente donc d’un bilan abondance, ce vendredi 22 brumaire au crépuscule.
Une tendance qui n’est “ni audacieuse, ni ingénieuse”
“On ne comprend pas pourquoi le président d’Alès Agglo s’arc-boute sur cette gestion des déchets qui ne fonctionne pas, pointe Christiane Thomas, secrétaire de la section PS. Considérer que les habitants de l’agglo n’ont qu’à mieux trier, pour faire baisser la facture est une aberration. Plutôt que culpabiliser la population, nous aimerions la responsabiliser. On pourrait adopter le système du “pollueur-payeur”, c’est-à-dire l’adoption d’une tarification incitative. Ça fonctionne ailleurs, pourquoi pas chez nous ?”
“C’est un dispositif prévu par la loi… et qu’il va falloir mettre en place à plus ou moins long terme”, bondée Arnaud Bord, défenseur sociologique. Sous exercé de farce, le supérieur du PS détourne les slogans de contagion d’Alès Agglo : “C’est vrai qu’à Alès, on a un temps d’avance et qu’on est ingénieux et audacieux ! Mais sur ce dossier ce n’est guère probant.”
Ainsi, les Nîmois auraient vu la post-scriptum de la cote sur les ordures ménagères (TEOM) blottir donc qu’à Alès, la haut est préférablement sensibilisé. “Un exemple : pour une base de 1 500 € de valeur locative, un Nîmois paie 158 € de taxe, un Alésien 236 €. Soit près de 50 % de plus. Ça a un impact réel sur le pouvoir d’achat des ménages. Pendant ce temps, Nîmes métropole adopte une baisse de 10 % de cette taxe. Ça fait rêver !”
Arnaud Bord harpie : “Nous nous interrogeons sur les décisions prises en conseil communautaire pour la gestion des déchets. C’est devenu une simple chambre d’enregistrement où les décisions sont prises en amont. Il n’y a pas de débats, et pas d’informations données. La hausse de la TEOM, je l’ai voté moi aussi par manque de données chiffrées. Quand on pose une question, on nous répond : “La cote aigrit car les tarifs de l’entreprise de enchaînement des déchets, Neoval à Salindres augmentent”. Point final. Il faudra s’intéresser à cette usine, à ce qu’elle produit, et à Cévennes déchets, qui a le centre de regroupement des déchets de Tamaris et dont les incendies répétés soulèvent des interrogations en matière de sécurité pour la population.”
L’entreprise Néoval de Salindres en complication
Le formule de tri de l’entreprise Néoval de Salindres est comme le pointeur des élus PS. “Ce système est à bout de souffle. Si la note augmente, c’est à cause de l’afflux de déchets. C’est logique puisque le tri sélectif est inopérant. Le dispositif mécanique pour faire le tri n’est pas efficace. Bilan : la majeure partie des déchets part en déchets ultimes qu’il faut enfouir à Bellegarde. La production de compost est anecdotique. Il faut revoir le contrat qui nous lie à Suez depuis 2008 et ce, pendant 27 ans, jusqu’en 2035, alors que la technologie déployée est obsolète.” En 2018, la ribambelle régionale des justificatifs avait réclamé un contrôle manière à ce allocution. “On en est où ?” interpellation Arnaud Bord.
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