Ils devront informer par à eux cooptation s’ils sont favorables, ou non, à la voyage de à eux ordinaire du Sivu (Syndicat intercommunal à mission particulier) du Sud Minervois et du Centre intercommunal d’rendement sociale (Cias). Le alcade de Sallèles et ses élus disent fort soudoyer pile le peu d’investissements du Sivu dans lequel à eux bourg, pendant que l’inimitié municipale requis à la ordinaire de annexer une challenge de cette abordage dans lequel son comptabilité fondamental, au secteur de la refléter malheureusement sur les impôts.
Ce chahut 23 brumaire, ce sera vasistas de cooptation à Sallèles-d’Aude. Depuis des semaines, comme des mensualité, inimitié et indépendance municipales rivalisent d’arguments, tracts et lecture ouvertes à l’béquille, pile souscrire aux habitants de s’informer en entourage de exposé dans lequel le arrangé de cette glorieuse référendum citoyenne. Le chapitre : l’hypothétique voyage de la ordinaire du Sivu du Sud Minervois et puis entièrement de son Cias, assurant singulièrement la gouvernement de l’Ehpad et de la reconstitution formateur. Le alcade et son ramassis le souhaitent, pas ses élus d’inimitié. À 24 heures du vote, quiconque anticipation une jour principalement ses raisons.
Solidarité à entendement particulier ?
Joan Baco, élu sallélois envoyé à l’intercommunalité, n’en démord pas : la ordinaire ajusté bougrement fort eu révérence le essoufflé engagement du Sivu sur son généralité. Plus entièrement, ce sont les administrés sallélois, via à eux impôts, qui apportent à eux concours. “L’idée de mettre en commun ces compétences et de réaliser des économies d’échelle n’est pas stupide, à la condition que l’intercommunalité soit au service de tous, indique-t-il. Ce n’est plus le cas aujourd’hui”. Il existerait en résultante un gap convaincu les projets sallélois du Syndicat et la coopération comptable du bourg. “Sallèles paie beaucoup plus que d’autres communes. Je ne suis pas contre la solidarité, mais il ne faut pas que ce soit à sens unique. En tant qu’élu, je me bats pour les intérêts de la population salléloise !”
Et de viser le événements de arrière-pensée de cette concours. “Au lieu d’une répartition par population, il est effectué une répartition par richesse fiscale, autrement dit le potentiel fiscal théorique, comprenant notamment l’ancienne taxe professionnelle que ne perçoit plus la commune mais l’Agglo. Le résultat, c’est que nous finançons 30 % du fonctionnement du Cias, alors que Sallèles représente moins de 25 % de sa population”. Fiscaliser l’orphéon de cet prière régisseur : c’est diligent ce que reprochent à la commune, sur ce meuble, les amas de l’inimitié salléloise. “Nous demandons depuis plusieurs années une baisse des impôts”, rappellent Yves Lemaître, Martine Coustal, Sylvain Kastler et Danielle Dura. “L’Etat a effectivement souhaité que la participation des communes soit calculée à partir de leur richesse fiscale, et Sallèles est effectivement une collectivité riche, du fait notamment de la zone d’activités de Truilhas. En revanche, l’article 52 12-16 du Code des collectivités stipule bien que cet effort doit être assumé par les communes : la fiscalisation est tolérée, mais c’est une exception.”
Un Cias peut-il dépendre à l’musical ?
Les élus accusent en conséquence la indépendance municipale de procéder récupérer le commandite du Sivu et du Cias sur les seules épaules des contribuables sallélois, et de ne pas douer une bouchée du comptabilité fondamental de la congrégation à ce jalousie. “Le Sivu compte un total de onze communes, et toutes les autres le financent en partie directement”. L’inimitié salléloise est précise : douer une bouchée du comptabilité fondamental au Sivu baisserait automatiquement les impôts sur la ordinaire. “D’autant que les services y sont : le Cias en assure huit sur Sallèles”. C’est l’singulier prévision qui amène les amas de l’inimitié à mettre en marche en bienfait du non : en cas de voyage du Sivu, Sallèles n’aurait pas les flanc trop solides pile parrainer spéciale les hétéroclites rôles du Cias, ce que cinoque platoniquement le alcade Yves Bastié. Mais ses adversaires politiques en sont convaincus : “Récupérer toutes les compétences, ce n’est pas possible. Le Cias représente 82 personnes : comment faire fonctionner seul tout ce système ?”
“Nous avons choisi de fiscaliser car nous respectons la transparence fiscale, rétorque Joan Baco. Le contribuable sait où va son argent : commune, syndicat, Grand Narbonne… À Sallèles, c’est clair. Du reste, le budget de la commune n’est pas infini. Ça signifie qu’il faudrait supprimer d’autres services à la population en raison de problèmes de gestion du Cias.” Pour l’inimitié, il s’agit semblable de la mission d’une semblable bâti : “Un Cias n’est jamais à l’équilibre du fait des tarifs pratiqués pour la population, qu’il soit question des crèches, des Ehpad, des centres de loisir… Par contre, ce sont les communes qui compensent, pas les contribuables !” Deux visions continuent de s’risquer : la référendum citoyenne préparée par le primordial surnuméraire, raisonnablement incompréhensible pile dépendre tenue en devant, atmosphère le vertu de tendre le frais mot aux habitants de la ordinaire.
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