Abrogation du transgression d’applaudissement du gangstérisme : “L’absurdité le dispute à l’énormité”, dénonce l’magistrat de Charlie Hebdo

l’caractéristique
Rejetée à cordiale comment à rustre, la sentence de LFI total sur l’révocation du transgression d’applaudissement du gangstérisme provoque équitablement l’déchaînement dans les victimes et à elles proches. Réactions de l’magistrat de Charlie Hebdo, Richard Malka, et du gouvernant du Crif Toulouse-Occitanie, Franck Touboul.

Déposée par le entremetteur LFI Ugo Bernalicis, la sentence d’infirmer le transgression d’applaudissement du gangstérisme provoque un admonestation dans les victimes et à elles proches. “L’absurdité le dispute à l’énormité”, réagit Me Richard Malka, magistrat de Charlie Hebdo. “Dans quel pays au monde accepterait-on des discours faisant l’apologie du massacre ? Du massacre du Bataclan, du fait qu’on mitraille des jeunes aux terrasses, qu’on tue des professeurs d’histoire-géo ou des journalistes de Charlie Hebdo ? C’est ça le monde dont rêve LFI ?”, interpelle-t-il, indigné, également, par la prétexte de la députée LFI Mathilde Panot relativement à la situation de son défaillant. Disant affaisser à contresens “l’apologie de l’état de droit”, cette dernière a de ce fait revue que LFI voulait neutraliser le libellé immatriculé pour le Code pénal en 2014 dans ne conserver que le transgression attendu par la loi sur la pastille de 1 881.

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“Énormité”

“Elle essaie de réparer là une énormité par une autre énormité. La loi sur la presse est dans le Code pénal. Elle dit donc qu’il faut retirer ce délit du Code pénal pour le mettre dans la loi sur la presse, qui est elle-même dans le Code pénal… Tout ça n’a strictement aucun sens”, explique ce thérapeute du juste de la pastille, dénonçant en l’éventualité un conférence “malhonnête” de l’choisie mutine car “la proposition de loi qui est faite, c’est bien l’abrogation du délit d’apologie du terrorisme.”

Quant à l’visée de LFI de requérir de ce fait foncer afin des “dérives” de principalement en principalement nombreuses visant à agresser la autogestion d’élocution en s’lourd sur le libellé de 2014 ? ” Je comprends complètement. Il y a des utilisations abusives de cette loi. C’est incontestable “, constate-t-il. ” Mais c’est vrai de toutes les lois. Il y a aussi des associations de protection de l’enfance qui poursuivent des tableaux dans les musées… Faut-il pour autant supprimer la loi de protection de l’enfance ? C’est aberrant comme raisonnement “, conclut-il.

“Insulte”

“Cette loi a été décidée par Bernard Cazeneuve, deux ans après les attentats de Toulouse (Quatre civils dont trois enfants juifs et trois militaires dont deux de confession musulmane assassinés par Mohamed Merah NDLR). Je trouve donc absolument abjecte la proposition de La France Insoumise de vouloir l’abroger”, réagit dans sa action le gouvernant du Crif Toulouse-Occitanie, Franck Touboul dans qui LFI “tente de fabriquer un électorat parallèle à la République”.

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“Tout ce qui peut donc s’apparenter à la lutte contre l’islamisme, notamment contre les menaces terroristes, LFI le perçoit comme hostile à ce qu’elle essaie d’instrumentaliser, c’est-à-dire un électorat identitaire, communautariste”, rejet Franck Touboul dans qui cette diplomatie “insulte” non exclusivement “ces populations dont elle flatte les plus bas instincts pour les éloigner de la République” – “alors que le terrorisme fait aussi des victimes chez les musulmans”, souligne-t-il – purement équitablement “les familles des victimes et tous ceux qui luttent pied à pied contre le terrorisme, nos services publics, l’État, les associations ou les ONG”.

Une station d’beaucoup principalement choquante dans le gouvernant du Crif Toulouse- Occitanie que la sentence de LFI est remplaçant lui “une loi d’opportunité politique et communautariste parce que Mme Panot va être convoquée devant le tribunal après avoir été interrogée par les services antiterroristes de notre pays sur les positions qu’elle a prises, elle et d’autres membres de sa formation politique.”

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