Affaire Jegou-Audarou : l’percussion de la examen de relâchement a amorcé, les rugbymen hexagonal tantôt fixés sur à eux fatalité

La impartialité argentine a engagé, lundi 25 brumaire, l’percussion de la examen de relâchement vers Hugo Auradou et Oscar Jegou, les une paire de rugbymen hexagonal inculpés de agression aggravé, jouxtant de cinq appointement alors les faits survenus hors champ d’une course du XV de France.
 

Les avocats des joueurs, et celle-ci de la plaignante, une Argentine de 39 ans femme de une paire de rejetons, sont arrivés pied 9h (13h en France) au sommet procédurier de Mendoza (couchant), rien plier(se) de proposition aux journalistes. Lors de l’notoriété à porte verger vouée à insister changées heures, l’avocate de la plaignante et iceux des joueurs doivent discuter du relâchement demandé fin août par les représentants des une paire de jeunes universels hexagonal. Le huisserie lui pareillement plaidera l’démission des poursuites, comment il l’a annoncé à l’enseignement de l’recommandation, avènement octobre.

La idole Eleonora Arenas présidant l’notoriété pourrait donner sa homologation comme la empreinte, ou puis apparemment la affermir en conscient à comme nombreux jours, ont estimé des avocats.Depuis avènement juillet, Auradou et Jegou, 21 ans, sont inculpés vers agression aggravé car suppléant en association. En cas de sanction, que le huisserie ne examen en conséquence pas, ils auraient encouru convaincu huit et vingt ans de centrale.

Les faits présumés sont survenus comme la nuitée du 6 au 7 juillet comme une compétence d’arrêt de Mendoza, où le XV de France venait de folâtrer un test-match malgré l’Argentine, ininterrompu d’une arbitre pause. Les joueurs affirment depuis le avènement que les contraventions sexuelles puis la plaignante, rencontrée en caisse nuitamment, subsistaient consenties et rien empressement. L’avocate de la plaignante a trompé vice versa un agression puis “violence terrible”.

Au fil de l’inquisition, d’développement de témoignages, d’images de vidéofréquence gardiennage, à des messages audios (de la plaignante puis une protectrice, particulièrement), “l’accusation initiale a perdu de sa force”, avait intérim le huisserie fin août, en consentant le réapparition en France des joueurs. Lesquels avaient passé en juillet un peu puis d’une semaine en séquestration préventive, après jouxtant d’un appointement assignés à bâtiment.

“Mensonge mal intentionné”

Leurs avocats affichent à eux épicurisme, Me German Hnatow estimant à nombreux jours de l’notoriété que “tous les éléments évalués en leur ensemble ne mènent qu’à une issue: la déclaration d’innocence”. Il a trompé, subséquemment la médisance capitale, un “mensonge mal intentionné (…) avec visées financières” d’indemnité.

Natacha Romano, l’avocate de la plaignante – un hétéroclite s’est dissocié du fichier – s’en est vers sa élément supposé fréquemment à la impartialité provinciale de Mendoza, qu’sézigue accuse d’détenir été partiale comme le continuation du certificat de sa cliente. En septembre, Me Romano avait tenté de plier(se) repousser les une paire de procureurs co-chargés de l’inquisition, après la semaine dernière principalement la idole Arenas. Recours déboutés.

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