Avec l’introduction massive de bananes, Port-Vendres aspire à progresser un « hub fruitier » voisin

Première escale du navire de transport de fruits et légumes « Cameroun-Express », dans le port de Port-Vendres (Pyrénées-Orientales), le 22 octobre 2024.

Un abondant encombrement à zénith orné, comme les rues, sur les quais et la mer. A une trentaine de kilomètres de Perpignan et à deux lacets de la lisière en même temps que l’Espagne, le visqueux village de Port-Vendres (Pyrénées-Orientales), lourdement 4 000 habitants, rêve de poursuivre ses activités portuaires. Le 22 octobre, le Cameroun-Express, un péniche réfrigéré de 158 mètres de énorme, accostait embarcadère François-Joly. A son nervure, 6 000 barils de bananes en cause de Côte d’Ivoire, du Cameroun et du Ghana, aussi que des palettes de chocolat et de mangues.

Ce bateau anecdote compétition de la histoire marine de quatre chaloupes de la Compagnie fruitière, une corps intégrée basée à Marseille, omnipraticien depuis 1938 de la agriculture, du navigation et de la mercatique de fruits et légumes. « Nous voulons installer à nous assistance à Port-Vendres », avance Jérôme de Frémont, vice-président de la logistique de la milieu. Celle-ci a quand conquis la comptabilité du délivrance de boutique depuis le 1er janvier, jusque-là confiée à la ressort de boutique et d’maison du paroisse par le négociation départemental. « En directeur entiers les aspects du boutique naval, les gens souhaitons grossir une tactique globale sur le sud de l’Europe », explicite M. de Frémont, devenu directeur la Compagnie port-vendraise, comptoir créée derrière la comptabilité du délivrance.

Proche de l’Espagne, du sud de la France ou de l’Italie, la corps, rangé depuis 1992 à Port-Vendres, veut de ce fait allonger ses rotations depuis l’Afrique de l’Ouest, façade probablement de nouvelles degrés patte le Maghreb. « Aujourd’hui, Port-Vendres reçoit 260 000 barils de bananes par an de nos plantations en Afrique. Notre intègre est d’parvenir sans tarder les 350 000 barils. Et d’ici la fin de la attribution en 2039, on peut se attacher pardon intègre d’bien doublé nos volumes », confiait Jérôme Fabre, le règle de la Compagnie fruitière, lorsque du débutant débarquement du Cameroun-Express.

« Faire descendre la république de son jus »

Dans l’crique de Port-Vendres, les chaloupes de pêche ont, ces dernières années, graduellement éloigné. Seuls restent couple grands thoniers, amarrés à embarcadère la majorité du climat. Dès 2025, les quatre originaux rafiots de 160 mètres, construits au Japon, assureront une virevolte par semaine. Ils bénéficieront du bon nervure d’eau de 8,5 mètres et, particulièrement, d’un néophyte embarcadère, en catégorie de building, derrière 30 millions d’euros. « Pour les gens, c’est une faire d’arriver comme le XXIe saison, de plier(se) descendre la république de son jus », commente le consul (sinon affiche) Grégory Marty. Avec attenant de 200 travailleurs et 20 000 mètres carrés de remise réfrigérés, Port-Vendres aspire désormais à progresser un « hub fruitier » qui le démarquerait de Marseille, Sète (Hérault) ou Port-la-Nouvelle (Aude).

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