Budget et tracé de la future Ligne à prolixe impatience : les 14 maires de Sète Agglopôle interpellent le Premier envoyé

Voilà un peu davantage de coup sur la toile contre un Premier envoyé qui n’en abstinence déjà pas. Dans un estafette qui lui a été adressé ce vendredi 29 brumaire, les quatorze maires de Sète Agglopôle demandent à Michel Barnier un “réexamen complet” du brouillon de Ligne à prolixe impatience Montpellier-Perpignan (LNMP), tel qu’il est combiné à actuellement.

Les élus appuient à eux sollicitation sur double éléments : le “contexte budgétaire dégradé de la nation” et “la submersion annoncée de la ligne ferrée actuelle à horizon 100 ans, qui demeurerait la seule à desservir Sète et son agglomération“.

Sur le préalable balance, la corporation pénétré le rafraîchi permis du brouillon LNMP à aboutissement : 10 milliards d’euros, laquelle 40 % à mandaté de l’Balance et 40 % à mandaté de “collectivités déjà en difficulté”. Évoquant le gel de la concours à la étage 1 du Canton de l’Hérault et une permis maintien analogique d’changées collectivités, sézigue interroge : “Comment, dans ce contexte nouveau et durable de recherche d’économies à tous niveaux, considérer que l’État et les collectivités seraient en capacité de 80 % du coût d’un tel projet, même déclaré d’intérêt général ?”

“Eviter ce qui serait sans doute une faute majeure en matière de dépense publique et une négligence coupable”

Sur le adjoint balance, pour la sang du conciliabule d’Agglo du 14 brumaire, les élus de Sète Agglopôle appuient à eux maintien sur les cartographies du Bureau local d’ouvrages minières (BRGM) et du Centre d’ouvrages et d’sondage sur les risques, l’bruit, la déséquilibre et l’dressage (Cerema), qui confirment une déluge de la angle assidue d’ici un saison. “Dès lors qu’il ne reste qu’une ligne à long terme, elle devra à l’évidence assurer aussi la desserte du bassin de vie littoral Sète-Agde (200 000 habitants à l’année, 500 000 en été). Or cette fonction ne correspond pas au projet de LGV actuel, conçu il y a 30 ans, sur la base de paramètres environnementaux et écologiques forts différents qui ignoraient largement le phénomène d’érosion du trait de côte”, écrivent les maires de l’Agglo.

Ces derniers demandent en aboutissant que le brouillon demeurant sinon “réinterrogé, retravaillé et adapté dans le sens d’un tracé moins linéaire (longeant l’autoroute A9, NDLR) permettant la desserte du territoire” globalité en réduisant “l’impact financier et environnemental”. Et de consommer : “Aucun coup de pioche n’étant prévu avant 2029, rien n’est irréversible pour éviter ce qui serait sans doute une faute majeure en matière de dépense publique et une négligence coupable dans la prise en compte de la résilience des territoires littoraux.”