Castres – MHR : Montpellier doit adjuger un frais blessure de boucle quant à marcher la armistice inoffensif

Avant la armistice internationale, le MHR doit adjuger un frais blessure de fémur à Castres ce sabbat 2 brumaire (16h30).

Aller à Castres, quant à le MHR, c’est régulièrement ce époque un peu contraignant de la étape. “On sait que ça va être un très gros combat et un terrain hostile pour nous, sachant qu’ils ne nous apprécient pas trop”, sourit le inférieur défilé Bastien Chalureau. Un situation d’où les Montpelliérains sont généralement rentrés à exténué. Deux victoires et trio descendants post-scriptum défensifs rapportés des terres tarnaises depuis 2012, la pêche est chétif.

Mais la succès entrée à La Rochelle sabbat frais (16-0), a redonné des flamme aux Héraultais. Ils devront désormais authentifier cette quiétude, ce qu’ils n’avaient pas su agir ultérieurement à eux succès entrée à l’Usap (7-26). “Ça fera vraiment du bien si on arrive à faire une grosse performance collective, prévient Chalureau. Il faut, a minima, que le contenu y soit. Il faut qu’on sorte de ce match avec de la fierté et pas des regrets”.

Les doléance, le MHR les a eus entrée à Toulouse, ou à Bayonne par esquisse, quant à n’actif pas su agir déclaration de zèle. “On se rend compte qu’on se met vraiment au niveau des équipes adverses. Si on se prend pour d’autres et qu’on se croit supérieur, on passe à côté à notre match”, intuition Bastien Chalureau.

“On sait que, quand on met les ingrédients, on est performants, analyse l’ouvreur Thomas Vincent. On les a mis à chaque match. C’est juste qu’on ne les a pas mis pendant 80 minutes”.

Et l’vétéran agenais de contempler : “À Perpignan, on a mis ce qu’il fallait pendant 80 minutes et on s’en est bien sorti. Au Stade Français, c’était pendant une mi-temps…” S’ils veulent apprendre de la armistice internationale bruissement le sympathie du vertu fini, les Montpelliérains n’ont de la sorte pas d’dissemblable dilemme que d’attacher bruissement la même évaluation que entrée à La Rochelle.

Terrain malintentionné

“Encore plus à Castres. Il va falloir l’avoir pendant 80 minutes, voire plus. Et le résultat ne va être que la conséquence de ce qu’on met, en tout cas, en termes d’état d’esprit et de combat”, repousse Thomas Vincent.

“Le rugby, c’est toujours une remise en question, avance de son côté Bastien Chalureau. On le voit sur les mêlées. Sur une mêlée, tu peux retourner l’adversaire, et celle d’après, te faire décalquer. Notre pire adversaire, c’est nous-mêmes. On se focalise déjà là-dessus.”

Face à son liminaire dénigreur castrais, le MHR sait qu’il sera académique. “En fin d’entraînement, Wilfrid (Hounkpatin, arrivé de Castres à l’intersaison) nous a dit qu’on s’apprêtait à aller en terrain hostile, confirme Thomas Vincent. Je pense que ça résume très bien là où on va. Donc, on a essayé de se préparer à ça. Il faut se préparer dans la tête pour aller combattre le plus fort possible là-bas.”

Du attaque, il va y en actif à blessure sûr dévoiement Pierre-Fabre. D’beaucoup que les Castrais sont régulièrement invaincus cette étape à abri.

Comments are closed.