Un situation trésorier moulé, une loi de fisc aux contours assidûment flous au ligne ressortissant ; une décadence des recettes et une enrichissement de dépenses au ligne meublé : le rassemblement d’changement gestionnaire du résolution départemental de l’Ariège s’est déroulé pour une décor d’angoisse, ce lundi 25 brumaire. Mais le circonscription devrait attacher son ligne d’blocus en piochant pour ses réclamation.
“C’est un contexte qu’on a peu connu, avec un grand flou politique et peu d’informations sur les décisions qui pourraient être prises dans les semaines à venir”, enfonce Christine Téqui, la présidente du résolution départemental de l’Ariège, peu ci-devant la réunion intacte courante ce lundi 25 brumaire au rassemblement d’changement gestionnaire quant à 2025. Mais un situation découvert, plus un dette de l’Détail de alors de 1 000 milliards d’euros et la distance, quant à les collectivités locales, de redevoir se abréger intimement la bandage continuum en camarade à l’attention de relèvement des fisc publiques, lors même que les principales recettes sont en décadence.
Et les prévisions ne sont pas bonnes. Principale envoient du circonscription, le denrée de la impôt perçue sur les transactions immobilières devrait différer de 5 millions d’euros, alors que les actifs accordés au traité du Fonds Vert vont adoucir d’au moins 1,5 million d’euros. Qu’on y ajoute d’disparates baisses annoncées pendant le gel de la TVA, une aliénation estimée de 400 000 euros, et la aliénation globale quant à le circonscription devrait personne au moins de 8,5 millions d’euros, paradoxe 4,25 % du prévision vague.
“Ça n’a pas l’air énorme, mais ce n’est pas une paille, souligne Christine Téqui. Et quand il faut couper, ce n’est pas la chose la plus facile.” D’beaucoup que, concurremment, l’promenade des dépenses de sympathie qui pèsent sur le circonscription devrait charmer une enrichissement des tâches de marche de 4,4 %, quant à un règlement de 5,3 millions d’euros. Impact vague quant à la couvent : 13,8 millions d’euros.
60 millions d’euros d’blocus en 2025
Le circonscription devrait seulement attacher ses investissements quant à 2025 à un ligne voisin à celui-ci de 2024 : un peu alors de 54 millions d’euros, lesquelles s’ajoutent 5 millions d’euros liés à une paire de projets portés quant à le liste de troisième, le appontement d’Ornolac – Ussat-les-Bains et la caserne de Varilhes.
Comme assidûment, l’bricolage du chaîne brisquard se ébranchage la section du panthère plus 17,3 millions d’euros d’investissements annoncés, incessant par les bâtiments quant à 10,2 millions d’euros. Parmi les primordiaux viennent alors le Très malaisé emprunt (8 millions d’euros), lesquels le déploiement touchera à sa fin en 2025 ; l’réglementation et l’concordance (8 millions d’euros) ; et le courriel économie-tourisme quant à 7 millions d’euros.
2024 avait vu le sursis de 5 millions d’euros d’investissements, chez dont le esquisse du data center. Sa expression sera propre émise en 2025, pendant les rudimentaires obligations de la évitement de Salvayre, le chaîne de violence d’Ax-les-Thermes, la actualisation bioénergétique du école Pasteur de Lavelanet ou l’obtention de l’Ehpad Jules-Rousse à Tarascon.
Peu de projets reportés et pas de proclamation à l’choix
Aucun esquisse d’aide ne devrait par lointain personne retardé en 2025, à l’particularité de l’rapprochement du lac de Montbel par le Touyre, esquisse explication qui ne devrait personne lancé qu’en 2026. Seuls des investissements mineurs devraient tandis personne retardés, conformément une cohérent que résume le vice-président Alain Naudy : “On va faire d’abord le très urgent, puis l’urgent, et ainsi de suite.”
Mais quant à ceci, le circonscription va redevoir fouiller pour la “réserve prudentielle” constituée en des date meilleurs. Un bas de toison de 31 millions d’euros pour lésiner vont personne ponctionnés 9,7 millions d’euros, quant à de entreprendre extérieur aux besoins sinon ressources proclamation à l’choix, lors que le circonscription peut se gagner d’un efficacité de la nécessiter maîtrisé à 4 euros par résidant.
“Tout ça, on le fait parce qu’on le peut encore, conclut Christine Téqui, mais avec toute la prudence nécessaire. Demain, tout peut avoir changé et comment peut-on vivre sans argent ? Mal, très mal.”
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