DÉCRYPTAGE. Pro D2 : rien empressement ni ballons propres chez les regroupements, le SU Agen n’avait aucune occasion quelque Montauban

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Face à une escouade montalbanaise caractéristique en ardeur, les Agenais ont baissé tour en intellect d’un jeu au pédicule gringalet et d’un ratage d’valeur chez les zones de remembrement.

Si la naufrage à Soyaux-Angoulême laissait un soif affligé chez la bouche, celle-ci de ce jeudi est fondamentalement différente. Jamais, les Agenais n’ont été en jugement de domestiquer, rencontrant impuissants devant au budget de jeu antagonique. D’écarté, ils n’ont oncques régenté au pastel d’présentation, brièvement approprié à la buste.

Dans un position de jeu particulièrement : l’empressement. Avec ses paire canonniers Jérôme Bosviel et Baptiste Mouchous, complets les paire ingénieux, l’USM a étriqué le Sporting, où, il faut l’accoucher contre, Billy Searle et Romain Darchen ne sont pas réputés verso à elles cylindrée de jeu au pédicule.

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Le budget des Tarn-et-Garonnais avait été distinctement inscrit. « On est de préférence compétitif sur ce position. On a franchement gagné cette combat, particulièrement en ancienne bascule », explique le gestionnaire sapiacain Sébastien Tillous-Borde. « L’empressement est fermement importante. Une état-major qui remporte l’empressement à l’apparence recueilli froid coup sur dix », rajoute le guide Fred Quercy.

Pendant généralité le épreuve, Montauban a psalmodié sa division, alors un « Bosviel chez un chaire » accompagnant Clément Garrigues. « On ne lui a pas mis une singulière coup la attirance. Il a accident ce qu’il a calculé. »

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La combat des rucks perdue

Rapidement, le jeu au pédicule agenais est survenu gringalet. Dès le antérieur projet de l’USM même, où une flambeau un peu longuette de Darchen, suivie d’une immonde approche défensive, a toléré à Mouchous et Josua Vici d’cheminer croupion la rangée Simon Renda.

L’établissement a manqué se copier plusieurs minutes avec tard. Tout le durée battus chez cette combat de l’empressement si importante chez le rugby récent, les Agenais ont lors été contraints de respirer à l’verso, en souhaitable des relances de à elles caractéristique goulag.

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Si l’originalité est respectable, sézig a manteau été uniforme en ruine fermement brièvement. Jack Maunder, rien balle caractéristique et assidûment gêné par les Montalbanais, a peiné à déplanter brièvement le balle des regroupements. Derrière, tel un jeu de dominos, Searle n’a pas pu articuler le jeu devant à une éloge disposant le durée de se remettre. « On avait comme’un sportif pouvait nature étanche ensuite trio ou quatre durée de jeu. L’concept incarnait de rapidement agissant plaquer verso accorder à Maurouard et Quercy de biner », avoue Tillous-Borde.

La entaille a été exploitée par les Tarn-et-Garonnais, pendant sur l’projet de John Thomas Jackson, en fin de antérieur billet, consécutif d’un balle châle sur un remembrement par le Sporting à l’acceptation des 22 adverses. Face à ce dur prévision, à l’bout de la ancienne bascule, Sébastien Calvet a changé sa joint, mettant Dorian Bellot et Franck Pourteau verso « enraciner de la capacité au pédicule ».

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Des changements bénéfiques. Le antérieur a tenté de édifier du hardiesse, même s’il n’a pas forcément été aidé par les gratteurs montalbanais, régulièrement solides sur à elles soutènements. Le adjoint a accort de la capacité au pédicule. « Il a répit les Agenais chez l’falaise », avoue même le gestionnaire montalbanais.

Mais le Sporting incarnait faction de assez éloigné, irrémédiablement enseveli sur une promenade de Darchen ensuite un coût jeu au pédicule de Bosviel, verso, au terminal, une naufrage ordonné. Avec un beigne d’avoisinant diplomatie, les pensionnaires de Sapiac ont joué un caractéristique dépravant clocher aux Lot-et-Garonnais. Et il n’y a pas grand-chose à témoignage.

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