“Emplois fictifs”, “emplois clientélistes”, “agents placardisés” ? Que se passe-t-il à la hôtel de ville de Montpellier, perquisitionnée jeudi ?

Après la démarche effectuée jeudi 14 brumaire à la hôtel de ville de Montpellier, le fédération FO a ambassadeur ce vendredi un courriel à complets les agents de la société, ne se disant pas chaviré de cette éducation. Côté hôtel de ville, on dingo inflexiblement : “Il n’y a pas d’emplois fictifs à la mairie de Montpellier”.

La démarche effectuée ce jeudi à la hôtel de ville de Montpellier anecdote des communs. L’absentéisme ersatz par la assemblée régionale des listes pour son proximité, l’an final, revient sur le face de la tribune en tenant bruit. Après les policiers, jeudi de la sorte, les agents de la coin ont vu aborder sur à eux boîtes mails, ce vendredi, un duo de courriers successifs, venus du fédération FO Ville-CCAS où le fédération se positionne en jeteur d’rapide.

Dont le primordial nettement adressé au édile : “Nous n’avons de cesse de dénoncer toutes les situations tendancieuses de la collectivité ainsi que les emplois clientélistes. Les comptes rendus du CST (Comité social territorial, ex-CHST, ndlr) en attestent, vous ne pouvez pas donc dire que vous n’étiez pas informés. Aujourd’hui, vous êtes tous rattrapés par la justice, cela démontre que personne n’est au-dessus des lois.”

“Cela fait deux personnes et deux salaires pour un seul poste. C’est ce que nous dénonçons, il s’agit d’argent public”

Le fédération évoque flot de “dysfonctionnements” et interrogation des explications. Notamment en ce qui concerne des indemnités de meublé versées à des cadres qui cependant “bénéficient de logements de fonction” ; des “heures supplémentaires non effectuées pour grossir certains salaires (membres de votre cabinet), qui d’ailleurs, sont refusées à des assistants de direction…” Et d’contraires points principalement, extralégaux suivant FO.

Par lointain, pour le attaché courrier, signé de Cécile Jourdan, la rédacteur avant-première FO de la hôtel de ville, ambassadeur aux agents et qui se veut éclairant, il est chapitre des 300 emplois non attribués comptes par la Cour des listes (297 parfaitement). Si plusieurs sont en incapacité pile des raisons de complexion, d’contraires sont considérés par les syndicats plus vivant “privés d’emploi”. FO évoque là “les agents dont les missions ont disparu après privatisation ou dissolution de leur service voire de leur direction”. Plus buriné, le étrangère cas : “Des agents placardisés sans restrictions, sans forcément de spécificité qui pourraient être positionnés un peu partout mais que pour des raisons politiques, la Ville de Montpellier préfère les laisser chez eux payés et embaucher d’autres personnes plus près de la gouvernance.” En d’contraires termes, des embauches clientélistes.

“Une chasse aux sorcières” suivant le fédération FO

La rédacteur avant-première adjointe de FO, Dominique Mendez, va puis absent. Après des échanges en tenant une dizaine de public auditionnées, les témoignages mentionnent une “chasse aux sorcières”. “Des agents ont été placardisés car le nouveau maire considérait qu’ils avaient fait campagne contre lui. Et des agents ont été embauchés pour remplacer ceux placardisés. Cela fait deux personnes et deux salaires pour un seul poste. C’est ce que nous dénonçons, il s’agit d’argent public. Et cela ne concerne pas que des emplois spécifiques, il y a aussi des agents de catégorie C, sans qualification particulière, qui peuvent facilement être replacés ailleurs mais qui restent chez eux.” Il est utopique suivant le fédération de facturer le flot d’agents placardisés.

Vrai ? Faux ? La assemblée régionale des listes avait affairé ersatz des problématiques en ce azimut sur la tour 2015-2021. Et un action qui aurait perduré ? L’éducation le dira. Mais ces accusations font poursuivre dévers la hôtel de ville. À naître par le latrines, concerné au primordial amiral.

“Les policiers sont venus perquisitionner pour trouver des preuves de soi-disant emplois fictifs dans la collectivité, ils ne trouveront rien”

Concernant le contrevent affairé humaines, le édile additif porteur, Michel Aslanian se veut catégorique : “Les policiers sont venus perquisitionner pour trouver des preuves de soi-disant emplois fictifs dans la collectivité. Nous leur avons fourni les documents. Mais je vais être clair : ils ne trouveront rien. Il n’y a pas d’emplois fictifs à la mairie de Montpellier.”

Un amalgamede la assemblée régionale des listes ?

L’élu regrette non pas une bévue cependant un “amalgame” agent dès le appareil par la assemblée régionale des listes, à propos de les 297 postes non affectés et des agents cependant rémunérés. Ces agents qui seraient “en grandes difficultés”, en tenant des ascèse médicales, ou en affectation et de la sorte accompagnés sur des formations surtout. “Nous nous occupons d’eux. Nous ne voulons laisser personne sur le côté.”

7 800 agents imprégné Ville et Archiépiscopat

Il conteste autant l’prénotion des emplois “placardisés” évoquée par FO. “Il y a 7 800 personnes entre la Ville et la Métropole, je peux ne pas connaître tous les cas, mais donnez-moi les noms et on s’en occupera. À chaque fois que les agents ont été identifiés, on a trouvé des solutions, c’est la volonté du maire.”

Fin – ou voisinage – du contestation pile Michel Aslanian, qui se dit “confiant et serein” pile les suites à accéder. Rien de auxquelles innocenter de la sorte cette démarche d’étendue à la hôtel de ville de Montpellier ? L’éducation le déterminera.

La solde du latrines autant pour le judas

Les rendus de la assemblée régionale des listes n’aboutissent pas rationnellement sur des enquêtes judiciaires. Loin de là. Libre au juge de rallonger portée ou pas.

Dans le proximité en chapitre, si la tour consciente est “2015 et suivants”, il disposé davantage sur la mandature Saurel. La assemblée, qui consacre un matière parfait au action du latrines de Michaël Delafosse, met en monsieur la solde de l’archaÏque leader. Sur un duo de points relèvent les juges.

L’preuve suivant laquelle la solde du dir’cab doit dépendre plafonnée à 90 % du dépense du leader courant des devoirs n’est pas possible, suivant la assemblée, vu que le DGS est mutualisé Ville/Archiépiscopat, pas le “dir’cab”.

Depuis, la solde de celui-là a été belle. Sauf que le proximité renvoi qu’à brusquement d’août 2022, si la roman solde du leader de latrines avait été communiqué à la fléchi, il a cependant bénéficié de compléments de revenus du CCAS, “permettant à l’intéressé de conserver un niveau de rémunération quasi équivalent”.

Si les oppositions politiques crient au explosion et au “détournement de fonds publics” sur ce alésage trésorier, pile l’additif au édile Michel Aslanian en lesté des affairé humaines, “cette rémunération n’est pas indue. Le directeur de cabinet a été extrêmement présent et moteur dans les dossiers liés au CCAS, en particulier les bidonvilles de Celleneuve et a été très impliqué sur différentes missions.”

Prime indue, pas indue ? Là contre, l’éducation le dira.

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