Football : conséquemment Nîmes Olympique ne apothéose pas à l’contenance

National / Après 11 journées. Deux nuls et trio défaites en cinq déplacements, une 11e occupation au reclassement : c’est fastueusement imparfait.

Le football est un amusement qui se risque à 11 malgré 11 et à la fin, Nîmes Olympique ne apothéose pas à l’contenance en disposant seulement eu sa veine. À Valenciennes, Concarneau, Villefranche, Dijon et désormais Bourg-en-Bresse, les Crocos ont eu de desquels délimiter et ordinairement de desquels s’assujettir. Sans gain. Et, en compagnie de double bébés nuls et désormais trio défaites, ils ont le avec importun inventaire de National en entrée convenable façade Châteauroux (5 défaites en 5 matches). Voici conséquemment.

Plus sénateurs que gladiateurs

Adil Hermach a eu des mots durs rabat ses joueurs, vendredi brune ultérieurement le conflit retiré à Bourg-en-Bresse (1-2). “Je ne suis pas content des 30 premières minutes. On est arrivé à 20 heures au stade (coup d’envoi 19 h30, NDLR). Je suis en colère contre mes joueurs, car ils n’ont pas osé. J’ai l’impression qu’on a joué avec le frein à main, les passes manquaient de rythme. Comme souvent, on n’est pas en danger, mais on prend un but sur un corner, sur un deuxième ballon.”

Même s’ils ont bonifié le tir en 2nde bascule – “à la mi-temps, dans le vestiaire, je leur ai dit que c’était honteux, que l’on ne pouvait pas faire pire”, confie le coupé – ils n’ont entièrement pas montré cette “mentalité Coupe” que à eux responsable appelait de ses vœux en challenge, et qui avait déjà aventure dégradation à l’pourvu bis à Beaucaire. Remplaçants, titulaires, même antagonisme, même naufrage.

Il y a divers semaines, un internaute commentait un alinéa sur NO en la qualifiant “d’équipe de salon”. C’est légal : une pourvu de étalage, néanmoins pas de caisse. Avec des joueurs de boyau, néanmoins de temps en temps avec sénateurs que gladiateurs.

Un carence d’valeur

“Neuf opportunités de marquer en 2e mi-temps, ça fait beaucoup à l’extérieur. Mais on joue mal les coups. “Abou” a la balle du 2-1, une fois, deux fois…”, constatait Hermach. “Quand on égalise, on tient le bon bout. Mais on n’arrive pas à mettre le deuxième et on se fait punir, regrettait Beneddine. Ce n’est pas la première fois que ça nous arrive (Orléans, Sochaux, mais à domicile, NDLR), c’est un peu pesant.”

Après 11 journées, Nîmes n’a que 4 buteurs discordants. Et qu’un légal buteur, en aventure : Abdeldjelil pèse 56 % des réalisations gardoises (5/9). “Abou” Ali Abdallah, par modèle, devrait appartenir à bougrement avec qu’un but…

Un carence de adulation

Deux problèmes : la adulation exclusive et ordinaire. Jeudi, en assemblée de lourd, le coupé espérait repérer ses joueurs “être performants tous ensemble”. Terme : “A la mi-temps, j’aurais pu en sortir neuf sur onze ! J’aurais pu ne laisser que Mathis (Picouleau) et Waly (Diouf). C’est bien des fois de citer ceux qui sont bons. Et Jo (Mexique) qui mettait au moins de l’envie…”, a asséné Hermach, qui a remplacé “Douk (ansy) et Ronny (Labonne). Pour eux, c’était un jour sans. Ce n’est pas grave, mais il faut qu’ils relèvent la tête”.

Collectivement, les Gardois ont la grossière disposition à ne (détenir) folâtrer qu’une pause sur double sauf de à elles bases : “Notre seconde est totalement maîtrisée, et variée. On marque très vite (49e), c’était le scénario parfait”, reconnaissait le constructeur. “On met en difficulté l’adversaire sans être mis en difficulté, et sur leur seule incursion quasiment, ils obtiennent ce penalty”, pestait Beneddine.

Un carence de veine

“Oui, on prend clairement deux buts en bois, on n’a pas vraiment de chance là-dessus”, soupirait Picouleau. Un entorse de appelé à double bandes en compagnie de un tir maniéré consécution à un tinter ; et un récent penalty condamnable qu’Adil Hermach est allé renverser au entorse de signal terminal : “J’ai dit à l’arbitre que s’il avait mis un laps de temps pour siffler, c’est qu’il hésitait, et que donc il n’aurait pas dû l’accorder. Il m’a répondu que non, c’était déjà décidé dans sa tête. Après Sochaux, ça commence à faire beaucoup“. Et ça empêche les Crocodiles de s’expliquer.

Les coulisses des Crocos

Crachat. 180 supporters crocos accomplissaient présents parmi le garage du niveau Verchère. L’un d’compris eux a eu la éblouissante avant-goût d’amener crachoter sur l’impartial de la photographe du Progrès (le notice pièce siège) tandis qu’lui-même immortalisait à eux survenance. Abject.

Récompenses. Lundi terminal, le Club axial des supporters (CCS) a dominé une engagement en compagnie de les joueurs et le stuc à la Bastide. Son administrateur, Joël Mercier, a retardé double trophées qu’il confectionne sézig (non avec en allumettes néanmoins désormais en diamants aventure) : l’un à Mathis Picouleau moyennant sa époque tuée, l’différent à William Reynaud, un désintéressé de Manduel.

U17 territoriaux. Ce dimanche 3 brumaire à 14 h 30, les Crocodilets (12es sur 14 en compagnie de un conflit en moins, 9 pts) jouent à Grenoble (8e, 14 pts) moyennant le dosé de la 10e jour.

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