Football : les confidences d’André Kabile, renseignement de Nîmes Olympique, invariablement footballeur à 86 ans !

Et but de Kabile ! Pourtant, moi-même ne sommeils pas là-dedans les années 60-70, uniquement bel et actif en 2024… En ce mardi 19 brumaire, moi-même sommeils réciproquement invariablement à Jean-Bouin, le degré fictif de Nîmes Olympique, à une gouvernement où le dancing gardois avait l’une des meilleures équipes de France, quatre coup 2e de Ligue 1 parmi 1958 et 1972.

Kabile, derrière un I, pas un Y

Il n’y a mieux de ballon, où les supporters des Crocodiles s’entassaient. Il n’y a mieux de pâturage naturelle, remplacée par du foin artificiel. Mais il y a davantage André Kabile (derrière un I, pas un Y, on lui a demandé) sur le losange acide.

Il y a cinq ou six décennies, le Martiniquais évoluait missionnaire, il tourmentait les meilleurs attaquants du compétition et ses coéquipiers de NO le surnommaient “Bibile”. Aujourd’hui, il pommette ailier stupide, ou inter stupide moyennant les ancestraux, et il brutalité là-dedans le baudruche complets les mardis derrière des retraités des charges techniques de la Ville de Nîmes, qui l’appellent “Dédé”. À 86 ans, qu’il a eus le 17 brumaire… Inoxydable !

Son confiance ? Marche, cycle, foot !

“Lundi (dernier), j’avais rendez-vous avec l’ophtalmo pour faire du laser à mon œil droit, car j’y voyais moins bien. Je ne savais pas si je pourrais jouer le lendemain, mais ça a été.” La affirmation, il a marqué, du stupide, et gracieux le classement d’une bataille sur demi-terrain à 9 comme 9. Incroyable. Son confiance ? “Je marche beaucoup, je fais 70 kilomètres de vélo par semaine et je joue au foot tous les mardis ! On m’avait conseillé de prendre un vélo d’appartement mais rouler devant un mur, ça m’ennuie…”

Le extrême parieur né vis-à-vis la 2e Guerre mondiale à travailleur civilisé en Ligue 1

Le jointure loyal est abîmé. Pas la état : “J’ai été repéré en équipe de Martinique. Moi, je ne voulais pas me faire tuer en Algérie ou en Indochine ! J’ai fait un long voyage en bateau jusqu’en métropole, et j’ai commencé par jouer à Port-Saint-Louis (Bouches-du-Rhône). Puis Firoud et Bosquier, lors d’un repas à Martigues, m’ont fait signer un contrat de non sollicitation de 4 ans”.

De 1964 à 1979, Kabile disputera 534 assemblée derrière Nîmes, moyennant 9 buts marqués. Un performance. Il arrêtera sa magouille pro à 40 ans en présentant l’brave d’un personnel dancing, même s’il fut demandé par Nantes et Bordeaux. Il est le extrême parieur né vis-à-vis la Deuxième désaccord mondiale (en 1938, à Saint-Esprit) à travailleur civilisé en Ligue 1. Autre performance.

Et si Nîmes Olympique l’invitait aux Antonins, non ?

Le passé, ce sont complets ces ancestraux footballeurs qu’il cite, ses ex coéquipiers “Ujlaki, Constantino, Bettache le dur, Djebaïli qu’on appelait la chèvre, Mézy, Charles-Alfred, Chillan et tant d’autres” et ses ex adversaires directs “Magnusson le Marseillais ou Mekhloufi le Stéphanois”, mort le 8 brumaire extrême. “Lui, il était plus vieux que moi. Un jour, à Jean-Bouin, je l’ai découpé et en le relevant, je lui ai dit : “Excusez-moi, monsieur Mekhloufi”. Moi, je n’étais qu’un porteur d’eau…”

Entraîneur d’Adil Hermach à l’institution Capouchiné

Le munificence, c’est un Nîmes Olympique déclinant, qui se morfond en National. “J’aime toujours, c’est mon équipe, mais je ne suis jamais allé dans le nouveau stade (Les Antonins). Je n’ai jamais eu d’invitation… Mais si on m’en donne, j’irai !” Le plaidoyer est passé.

Autre résurgence : “J’ai entraîné le coach actuel, Adil Hermach, et aussi Nabil El Zhar (ancien pro passé par Liverpool et Levante, NDLR) quand je travaillais à l’école Capouchiné. Mais Adil, maintenant, je ne vais pas aller l’emmerder…”

La renseignement Akesbi s’est éteinte. La renseignement Kabile est invariablement actif vivante

Le 9 brumaire, s’éteignait une renseignement des Crocodiles, Hassan Akesbi, amélioré buteur de l’série du dancing (149 buts). La renseignement André Kabile, miss, est invariablement actif vivante.