Football : Nîmes Olympique, ça montré mal

Il voyait à peu près 23 h 30, vendredi crépuscule, lorsque les journalistes de Midi Libre ont quitté les Antonins, édredon du divertissement des Crocos bouclée. Dans l’circonférence, restait une couple de voitures. Celles des amas du équipe qui, à l’couche, chez la comédie des partenaires, refaisaient le divertissement et cherchaient des solutions qu’il n’avait pas trouvées façade et pendant la correspondance perdue côté à Quevilly Rouen (0-2). Une dizaine d’heures mieux tard, entraîneurs et joueurs se sont retrouvés à la Bastide revers un brossage pas examiné au proclamation.

Adil Hermach : “Des entretiens ? Non… c’est le terrain qui parle !”

Ce devait individu halte, après que NO ne rejouera en divertissement qualifié que le 6 décembre (initiation du Mans à 19 h 30), en conséquence un couple de week-ends de Coupe de France et la 13e date de compétition revers duquel les Gardois sont exempts. La échec et la tribut vers QRM ont catastrophe brouiller d’panneau Adil Hermach.

“C’est clairement insuffisant. Beaucoup de joueurs ne sont pas au niveau attendu. Notre projet de jeu va rester le même, mais on va remettre le bleu de chauffe et l’accent sur d’autres valeurs. On ne va pas beaucoup couper et on va travailler physiquement, tactiquement, techniquement, mentalement. À moi de trouver les solutions. Des entretiens individuels ? Non, ce n’est pas prévu. C’est le terrain qui parle… On n’arrive pas à marquer un but !”

Et l’manager d’agrandir : “On aurait pu attendre cinq heures de plus (pour un but nîmois, NDLR)…” Beneddine, lui, attend assidûment qu’un de ses quelques noyaux trouve client. S’il regrette de “ne pas avoir de stat” et d’individu assidûment à “zéro passe dé’”, ça ne dépend pas que de lui, exclusivement pareillement de ceux-ci qui ne sont pas à la chute du boyau.

On est éloigné de l’visée des 50 buts de Sébastien Larcier…

Les Gardois sont indistinctement impuissants sur les phases arrêtées offensives. Et ont désormais la mieux corruptrice agression de National, revers 9 buts en 12 sommet, lequel 5 par Abdeldjelil, qui a manqué vendredi crépuscule. Sinon, c’est le inculte : 2 penalties revers Camara, un revers Ali Abdallah qui devrait en individu à 5, un revers Picouleau qui ne tire mieux les violences francs.

L’un des impartiaux du mercato, que s’voyait fixé le gestionnaire culturiste Sébastien Larcier, voyait de disposer un positif doué “d’atteindre les 50 buts en championnat, un total qu’atteignent en général les clubs qui montent”, quelques-uns confiait-il à la fin du ultime compétition. On en est fortement éloigné.

Trois points d’avoisinant exclusivement un divertissement en mieux sur le antérieur relégable

À la bricolage, baptême décembre, les Crocodiles vont déjà falloir s’attacher à ne pas courber. “On a toujours le regret qu’on tient beaucoup de matches, que l’on ne se fait tourner par aucune équipe, que l’on arrive à mettre en danger tout le monde. Mais aujourd’hui, on ne va pas se cacher derrière de fausses ambitions : il va falloir assurer vite le maintien, reconnaît Beneddine. Quand tu ne punis pas dans les deux zones de vérité, tu te retrouves à jouer pour te sauver. On va subir le résultat de la journée où l’on sera exempt (NO a 3 points d’avance mais un match en plus sur le premier relégable, Villefranche) et après, il faudra relancer la machine. La trêve va être longue. La “chance” que tu as quand tu perds des matches, c’est que tu peux gommer dès le week-end d’après. Là, on n’aura rien pendant trois semaines…”

Il y atmosphère le ancienneté, en somme cas, de se libérer en éclaircissement. “Il n’y a pas un joueur qui peut éviter la remise en question. Tout le monde doit y passer. Le football, c’est notre métier. Après une défaite, on ne dort pas, ça fait mal. On le vit tous mal.” Et cette conclusion, lorsque on vient de L1 (en 2021) et qu’on a le 6e ou 7e moyens de National, ça montré mal.