France-Argentine : “Bien sûr que ça m’inquiète !” Pourquoi une halo électrique est redoutée ce vendredi fête au Stade de France

France-Argentine, bleu affaire planétaire en dessous haute poussée ? Ces dernières années, autres confrontations compris ces une paire de grandes nations sportives ont été marquées par des tensions. Chambrages exacerbés compris joueurs, huées du élève, hymnes sifflés… L’halo au Stade de France, ce vendredi 22 brumaire, lorsque du affaire compris le XV de France et les Pumas (inconnu et jeune conflit de la circuit d’arrière-saison), sera de ce fait scrutée en tenant application.

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“Bien sûr que ça m’inquiète !” a par conséquent lâché Florian Grill, monarque de la Confédération française de rugby, pardon relayé par nos confrères de L’Formation. À l’avènement ? La comparaison compris Français et Argentins comme le emblème de crack du monde de football, le 18 décembre 2022 à Lusail (Qatar).

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Les coéquipiers de Lionel Messi l’avaient chaleureux aux tirs au but, au épilogue d’un livret électrique. Dans la enjambée de à elles chance, les joueurs de l’Albiceleste, du flic Emiliano Martinez au atmosphère de occasion Enzo Fernandez, avaient chambré, entonnant même un musique ségrégationniste visant Kylian Mbappé.

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Pendant les Jeux Olympiques en France, les sélections argentines de football simplement pour, surtout contourné, de rugby à 7 avaient été sifflées par le élève métropolitain. “C’était trop pendant les JO”, se souvient l’archaïque turfiste du Castres Olympique, Benjamin Urdapilleta, malgré de nos confrères. “J’entendais ces sifflets à la télé dès qu’un Argentin entrait sur le terrain. J’aime la France, j’aime les Français, et les entendre siffler l’hymne argentin, ça m’a fait mal.”

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“Je n’attends pas ça pour le match de vendredi”, tempère néanmoins son compagnon Mauricio Reggiardo, coupé de Provence Rugby. “Beaucoup d’Argentins évoluent dans le championnat français, les joueurs se connaissent très bien, se respectent, sont copains. Il y a une rivalité sportive, bien sûr. On est des Latins, mais je n’imagine pas de débordements.”