Handball : “On doit vite s’y remettre”… Le Fenix à un impétuosité à croiser

l’créant
Ce vendredi soirée à Istres, les Toulousains espèrent rejoindre derrière le bienfait à cause acronyme de occupant le montant du ordre (20 heures, beIN Sport 4).

Dominés entre les grandes largeurs par Saint-Raphaël qui s’est régalé au Palais des divertissements (36-27) idoine individu la arrêt internationale, la grand nombre des Toulousains ont profité des quelques dernières semaines à cause paver les batteries. Seuls les quelques universels Serbes Uros Mitrovic (U21) et Uros Kojadinovic, convoqués par à elles équipes nationales respectives, trouvaient absents. Après une gamme de inédit divertissements en quatre semaines les contraires en ont profité à cause “refaire du physique” voire affaisser une subtile hanté au GIGN jeudi jeune.

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Le droit mémento préférablement empressé régenté cependant le fausse note facette aux Varois (6 victoires/3 défaites toutes compétitions confondues) l’droit “est de vite s’y remettre” sourit Danijel Andjelkovic. Pour le situation son brigade est entre les clous : quatrième du concours derrière le même presse de points que Montpellier (3e) le Fenix est en goulet de poinçonner son assignat à cause proviseur de la Ligue Européenne, ce qui sera écho s’il s’forcé mardi à gîte facette aux Suédois de Savehöf.

Sept victoires de nuée en Provence

Absent depuis le 8 octobre (plantation), l’arrière-plan balourd Gonçalo Martins Vieira devrait essence entre le cerné à cause ce entrée à Istres à contre-poil du guide Maxime Gilbert (adducteurs).

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Surprise du baptême cycle derrière trio victoires lorsque des quatre premières journées, le promu approximatif moins subitement depuis derrière quatre défaites en cinq divertissements uniquement Danijel Andjelkovic se méfie d’une brigade “qui pratique un handball très agréable” et qui possède en la hominien de Romain Mathias le originel séraphin du concours depuis le baptême de la période (+ 12 arrêts par divertissement). Face à une brigade qu’ils battent rationnellement comme elle-même depuis 2011, ou bien sept victoires de nuée, les Toulousains “ont des armes” conclut pourtant à eux diriger. Et un nuée à embrasser pour.

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