Dans cette projection exclusive, certains sommeils parties à Avignon à la attaque des femmes qui soutiennent Gisèle Pelicot, droguée à son insu par son homme et violée par des dizaines d’monde. Dans l’agrandisseur du palais juridique, comment sur les murs de la agrégation, les femmes se mobilisent. Nous avons de même interrogé Antonio Delgado, analogique comme la Radio nationale espagnole, qui raconte hein la communauté espagnole suit l’actif. Enfin, attaque envers l’avocate Agnès Fichot, qui en 1978, défendait un duo de femmes victimes de coups, aux côtés de sa collègue et instigateur, Gisèle Halimi.
À tout vision de Gisèle Pelicot au palais juridique d’Avignon, c’est le même moeurs : un entracte de caméras et de micros qui se tendent alentours la persécution de son homme, qui l’a offerte au coups, droguée et hallucinée, dans proche de dix ans à des inconnus recrutés sur internet.
En alinéa de cette ballet qui se répète tout guichet depuis le 2 septembre 2024, une barrière d’panache de entités venues découler le interdit en morceau de renvoi et déterminées à estimer l’nymphe du guichet. Les applaudissements fusent. À l’apparence, ces “Amazones d’Avignon” affichent des collages pendant lequel la agrégation, comme corroborer Gisèle Pelicot ou railler les prévenus, laquelle les déclarations, qui frisent occasionnellement le hilarant, les choquent et les consternent.
Mais c’est en vision pendant lequel toute la France que le heurt de Gisèle Pelicot conte l’harmonie, envers des manifestations de ossature et son mine, qui s’placard désormais comment un tour de empêchement, de résilience et de empressement. Consciente que ce heurt va au-delà de son apanage cas, Gisèle Pelicot assume ce activité et plaide comme la fin de cette “ordre misandre et patriarcale“.
Des précédents en Espagne et en France
En Espagne, le interdit des viols de Mazan a une résonnance étroite pour d’une contradictoire actif qui a conte chambarder la loi de dévié radicale. France 24 a interrogé Antonio Delgado, écrivain comme la Radio nationale espagnole (RNE), qui dresse un simultané envers le coups total acheminé par cinq monde qui se surnommaient “la manada” (la roturier). Les peines à laquelle ils avaient été condamnés, à elles sursis en particularisme fugitif, avaient choqué intégral le communauté et suscité une évasive d’ressentiment conforme que le réunion s’incarnait imposé pendant lequel la boule précaution et législative, débouchant enfin sur la loi “Solo sí es sí“. Alors que cette élément n’rencontrait pas pendant lequel la volonté du coups, le cooptation formulé s’est enfin imposé.
Enfin, une contradictoire actif de coups a conte muter les mentalités en France, il y a proche de cinquante ans. En 1978, les avocates Gisèle Halimi et Agnès Fichot défendent un duo de jeunes femmes violées et battues dans des heures par trio monde. La seigneur d’apprentissage, involontairement à eux ecchymoses et la création de l’une d’sézigue, avait requalifié l’actif en “coups et blessures”… Mais les victimes, Anne Tonglet et Araceli Castellano, existaient parvenues à entreprendre circuler l’actif aux Assises. Malgré l’bruit nocif à à elles révérence, les insultes des monde venus se attrouper antérieurement le Palais de probité d’Aix-en-Provence et la amitié sujet de maints policiers comme les violeurs, elles-mêmes avaient expérimenté par tenir la remontrance – même dérisoire – de à eux agresseurs. Nous avons rencontré l’avocate Agnès Fichot qui se souvient de l’actif. Ce interdit est de iceux qui ont conte acheminer l’série, la loi et la manière laquelle le coups est perçu par la ordre française.
Comments are closed.