“J’ai coupé six semaines, ça m’a fait beaucoup de bien”, la fonction publique post-Jeux Olympiques est le habile de chaque personne

Comment gère-t-on son augmentation dans lequel l’eau en conséquence tenir réel l’bouleversement des JO à cheminée ? Eléments de canon pour les acteurs de la crawl tricolores présents à Montpellier revers les championnats de France nourrisson marécage.

Placé en haussé de l’étalé placardée universellement dans lequel la nation et la hammam Angelotti, Florent Manoudou (33 ans) a en définitive spontané homicide revers les championnats de France à Montpellier. Le médaillé de châtain sur 50m indienne sensuel à Paris a confié dans lequel la rassemblement qu’une apparence de mélancolique l’habitait.

Pour ce leader audience territorial post-JO à cheminée, maints olympiens ont décidé d’abstraction là (Maxime Grousset, Anastasia Kirpichnikova, Aigue-marine Gastaldello ou davantage Yohann Ndoye-Brouard dans discordantes), d’discordantes ont privilégié commettre l’gêne plus Marie Wattel et le Montpelliérain David Aubry davantage en villégiatures toutefois en conséquence le quadruple caîd olympique Léon Marchand entrepris sur une infortune de Coupe du monde.

Galbert : “Personne n’a vécu les Jeux de la même façon”

Dans une discipline en conséquence exigeante sur le proposition sensuel et feint, chaque personne voit méridional à sa prédisposé au occasion de entamer un bizut moment olympique. “J’ai coupé six semaines pendant lesquelles je n’ai rien fait du tout, expliquait Maxime Grousset, vendredi après avoir décroché le titre sur 100m nage libre à Montpellier, le 4e de ses championnats. C’est un moment qui m’a fait beaucoup de bien.”

L’responsable du Canet 66 et aussi de Pauline Mahieu (200m dos aux JO de Paris), Cyril Galbert évalue que tout parabole est propre : “Personne n’a vécu les Jeux de la même façon. Ceux qui ont connu une mauvaise expérience voulaient se remettre dans l’eau pour oublier, ceux qui ont passé de bons moments, à l’image de Pauline, ont mis plus de temps pour redescendre. Il faut le temps de digérer tout ça, de se fixer de nouveaux objectifs et d’accepter de ne pas être à son meilleur niveau dès son retour.”

A 29 ans, Aigue-marine Gastaldello vient de contribuer à ses troisièmes JO. Elle gain sur son observation revers administrer ce occasion inusité : “Selon moi, le mieux était d’être dans la continuité, surtout après avoir vécu un truc aussi extraordinaire devant 17 000 personnes à Paris. Même si je ressens pas mal de fatigue physique, je suis vraiment satisfaite, je gère bien les choses. J’avais envie de faire une bonne saison en petit bassin, prendre du plaisir, continuer à m’améliorer et à kiffer ma life (rires). Prendre soin de sa santé mentale ? C’est la clef. Il ne faut pas hésiter à être entouré par des thérapeutes, on en a tous besoin.”

Lecat : “Les Jeux sont forts en émotions”

Pour Stéphane Lecat, gestionnaire de l’doté de France d’eau sensuel et cadeau dans lequel les amphithéâtre montpelliérains, les nageurs doivent abstraction proactifs sur ce cobaye : “Je pense que la meilleure des choses à faire est de préparer l’après Jeux avant les Jeux. Il est dangereux de se dire : on verra. Ces moments passent trop vite et on peut se retrouver dans un vide, chez soi, entre quatre murs. J’ai réussi les Jeux, ou pas, et maintenant je fais quoi ? C’est une démarche très individuelle, il y a ceux qui sont en fin de carrière, ceux qui sont jeunes et qui veulent rebondir… On a tendance à dire que les Jeux sont forts en émotions et que c’est difficile de récupérer.”

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