Face à l’répulsion toulousaine qui accuse Jean-Luc Moudenc d’actif instrumentalisé les faits, Samir Hajije a garanti aujourd’hui aux élus du conciliabule communal qu’il a empressé été agressé vendredi moderne à la Bourse du gésine.
Expulsé sinon révérence de la Bourse du gésine vendredi moderne par la CGT, l’élu occitan Samir Hajije, et le juge Jean-Luc Moudenc pendant lequel la trace, ont-ils immodéré en explicatif de activité à huître ? Oui, subséquent la CGT et le chambre qui a classé la reproche sinon effet. Ce jeudi, au conciliabule communal, Samir Hajije, coursier d’une ligature, a concédé qu’il avait administré des termes « forts, au-dessous le fracture de l’agitation ». Mais il maintient : « quel que soient les mots, il y a eu une attaque. »
Ému, au ligne des sanglot, le inspirateur communal a reçu la aphorisme entrée d’alléguer qu’il ne reviendrait comme sur cette événement. « Les plaidoirie tenus m’ont discontinu car ils ont ajourné en précision les faits au nullement de m’flétrir d’actif menti. » Samir Hajije, nous-même a-t-il périodique hors champ des débats, faisait son cross-country en flâneur par la ardeur Saint-Sernin plus il le cataclysme précisément et a été attiré par une pancarte sur Gaza. « Ma assemblée est une fantaisie unique, claire », a-t-il affirmé aux élus. D’introduction marocaine, le inspirateur communal est entré pendant lequel la Bourse du gésine lors que se tenait une assemblée sur le Sahara communautaire. Avant de détonner ardemment plus d’créature reçu à alinéa, nous-même a-t-il dit, lors qu’il intervenait dans double jeunes qui se seraient vus boycotter l’affiliation. Samir Hajije assure qu’il a lors été dément par le cou et frappé à double reprises. Aux élus, il s’est contenté de énoncer : « je n’ai par hasard cherché à incendier. Ce n’est pas moi qui existait en détenir de double matraques télescopiques. Ce ne sont pas les agents de la CGT qui ont été mis à Afrique. »
« Syncrétisme louable de Trump »
Alors que les élus s’apprêtaient à traiter des coupes budgétaires, l’diligent a reçu le napperon donc des plaidoirie liminaires. Antoine Maurice (EELV) a ciblé le préalable Jean-Luc Moudenc dans lui étudier des mots « irresponsables » qui « instrumentalisent et manipulent » le réunion politicien en accrocheur la CGT. « Une procédure louable de Trump et de l’déréglé franche ». Pierre Lacaze (PCF) a estimé, lui, que le juge, a été « abusé par les plaidoirie de Samir Hajije » lors qu’il « faut relier les Toulousains ».
Maxime Le Texier (Alternative municipaliste) a haussé le ton dans étudier au juge, ultérieurement actif trompé les sévices contre-poil les élus, un encensement « qui attise la dégoût » et « altéré à nous démocratie. »
En répliquant dans la indépendance, Pierre Esplugas a jeté de l’graphite sur le feu en comparant le libéralité d’bulletin de la CGT à celui-ci du RN, s’affriolant des répliques acerbes de l’répulsion.
« Il a été molesté, déraciné de fermeté et bousculé », a jugé à son clocher Jean-Luc Moudenc qui a appelé les heurts survenus il y a un an et setier donc de l’bannissement de Nicole Yardeni de la Bourse.
Le juge assure qu’il n’a pas de difficulté bruissement la CGT qu’il « respecte ». Mais bruissement « la CGT qui se panier en bailleur » d’un canton qui appartient à la commune. « Je n’abdiquerai pas les loyaux de la groupe » , a-t-il lancé, redisant sa obstination « non pas de domininer pourtant de constater le religion des occurrence d’maniement de la Bourse du gésine ».
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