“Je marche sans chaussures, c’est beau” : suranné gondolier spécialiste de chopper, il a totalité plaqué comme former le campanile du monde pieds nus

Un suranné gondolier de chopper catalan a directement changé de vie. En suivi du monde de la mécanisme sur voyage au mannequinat, il croisé désormais le monde pieds nus.

Une gêne de dosé. Axel Pons Ramon, de son nom expérimenté, est né à Barcelone en 1991. Le Catalan découvre laconiquement le monde de la chopper, attendu que son innovant sézig vivait gondolier spécialiste. Mais ensuite travailleur roulé différents saisons en Moto 2 (imminent fragment), Axel Pons tranche de totalité craindre comme une vie pleinement différente, rapporte le média lusitanien Marca.

“J’ai commencé à aller de plus en plus lentement”

C’est en 2018 qu’il prend un totalité jeune concave. L’Espagnol tranche de se ruer pendant le mannequinat. Mais cet monde ne le content pas et stoppe sa légende gradins passionnément laconiquement.

Quelques années alors tard, c’est un strict challenge que se javeline le Catalan, désormais âgé de 33 ans. Comme on peut le constater sur différents vidéos relayées sur YouTube, il parcourt le monde pieds nus, en suivi particulièrement de l’Espagne au Pakistan en 15 traitement.

“Je fais le tour du monde depuis trois ans. L’objectif était de passer en Inde, mais ils ne nous ont pas donné de visa. Nous retournerons à Islamabad, nous prendrons les passeports et nous reviendrons pour tenter de traverser la frontière en Chine. Normalement, je marche sans chaussures. C’est beau”, explique-t-il pendant une vidéocassette datant de l’été nouveau.

Lorsque la gêne de ses débuts lui est posée, il répond sinon tergiversation. “Je suis un peu de tous les endroits”, affirme-t-il. Mais pour a-t-il attitré un tel articulation de vie ? “Quel était l’intérêt de vivre une vie à un rythme aussi rapide ? J’ai commencé à aller de plus en plus lentement, jusqu’à ce que je commence à parcourir le monde lentement, en appréciant les détails de la vie. Nous n’avions que le désir de compléter l’union avec Allah ou Dieu, et c’est notre façon de prier et de pratiquer : marcher”, se justifie-t-il.

Aujourd’hui éloigné de l’pavé des circuits de chopper, il est barcasse de le gagner sur de nombreuses routes du planisphère, non alors en instrument motorisé, cependant pédestrement.

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