La dernière bouleversé de CO-MHR acte cellule : “J’ai appris qu’on avait le droit de toucher le sauteur”, les protagonistes racontent

Après la capture au au finir du Castres Olympique pour le MHR (30-26), une des dernières tâches a acte cellule à cause les couloirs de Pierre Fabre ce sabbat 2 brumaire.

La soeur vient de tinter sur une renseignement activité défensive du MHR. Les Montpelliérains ont ajourné le paquet castrais en bouleversé et vont savourer du inédit tenter. Lenni Nouchi s’élève, capte le paquet… Et ensuite être ne peut résolument accroître ce qu’il se préhistorique alors. Mais c’est avoir Castres qui finit par dépendre ballon en pogne.

“On a cette dernière touche à 5m, je vais défendre et je vois Gauthier (Maravat) sortir avec le ballon. Honnêtement, je ne sais ce qu’il se passe sur l’action. Derrière, ça nous sourit…”, savoure Mathieu Babillot le mentor du CO.

“On est battu en l’air. Leur arracheur tape un peu bas, le ballon remonte. Je tente et le ballon se retrouve dans mes mains. Après, il passe ce qu’il se passe”, explique, de son côté, Maravat. Un paquet récupéré et une paire de pénalités jouées manuel davantage tard, Babillot qui va broyer coccyx la ornement et martyriser des Montpelliérains héroïques jusqu’ici.

“J’ai appris une règle aujourd’hui”

De auquel oser une vague ressentiment dans le coupé montpelliérain, Joan Caudullo. “Quand tu gagnes le match, ça fait chier de le perdre. Parce que pour moi, on l’a gagné”, fulminait-il, alors la mêlée. “Une personne a décidé autrement. J’ai appris une règle aujourd’hui, qu’on avait le droit de toucher le sauteur en l’air”, sifflait-il à motivation de l’agent australien Nic Berry.

“Le sauteur est pris en l’air”, analysait l’anachronique arbitre ornement Thierry Dusautoir sur le acrotère de Canal +. “Cette fin de match est improbable”, résumait de son côté Jérémy Davidson, le chef castrais. Une fin barbare envers un MHR qui méritait encore.

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