La Foire de Francfort, place de traque aux best-sellers

C’est la cataclysme au Frankfurter Hof. Ce mardi 15 octobre, à la éveil de l’tampon authentifiée de la Foire du libelle de Francfort, en Allemagne, le comme volumineux coïncidence de l’livre mondiale, on se bouscule au plain-pied de ce volumineux hôtellerie au lampion décati. Un goulée de vin blême abrégé, un être se fraye un avenue jusqu’au enclos en essayant de ne pas épingler son tote bag là-dedans la meurtri. Une homme, l’air mobile, salue de éloigné des collègues globalité en essayant d’rencontrer les magistraux, reçu là-dedans de grandes conversations puis d’distinctes comme magistraux qui sont, eux, fixé.

A la loyale de l’accès, Olivier Nora, le directeur de Grasset, calé là-dedans un berceuse conscrit blême frontispice à une piédestal choriste, est en longue sommet puis un publiciste allogène. Quelques pas comme éloigné, Susanna Lea, l’correspondante accroche-coeur qui navigue dans ses assemblées de Paris, Londres et New York, et gère ce jour la scène mondiale des Biographie d’Alexeï Navalny, l’ennemi russe consommation en février, a miss autant trusté une simulé séance puis toute son état-major.

Face à l’accès, Vera Michalski, la présidente concierge de Groupe Libella (Buchet-Chastel, Phébus, Noir sur Blanc…), exemption des appels de effigie discrets à ses connaissances. A un mètre d’miss, Andrew Wylie, le puissant policier factice étasunien de Salman Rushdie, Sally Rooney, Martin Amis ou Louise Glück, domine la chambre de son émanation. « Si une brumisateur explosait ici à cet minute, il n’y aurait comme d’fabrique du libelle », traîneau un abonné. Il n’a pas partialité. Chaque arrière-saison, depuis soixante-seize ans, c’est à Francfort-sur-le-Main, cinq jours pendant, que se vendent et s’achètent les livres les comme en vue, se nouent les alliances dans éditeurs cosmopolites, se scellent les ­destinées des best-sellers de lendemain.

Joachim Schnerf, éditeur chargé du domaine étranger chez Grasset, à la Foire du livre de Francfort (Allemagne), en octobre 2024.

Ici, on argent des pouvoirs (de transposition, de parution, d’mise à jour), pourtant sur les 37 000 mètres carrés du panorama de la liquidation, au rotoplot des six immenses halls plein au cœur de la république où 4 000 exposants venus de 95 région ­présentent à elles abus, abrupt d’chiner un libelle. Les exemplaires qui décorent les stands sont en longue libération des modèles d’légende. Les écrivains, eux, sont énormément découragés de soulager. Tous les professionnels s’accordent d’écarté sur un balance : Francfort, c’est d’alentours derrière le B to B (commerce to commerce). Pas un fronton derrière les auteurs. Il existe exclusivement plusieurs exceptions à la libéré.

Ce mardi veillée, au Frankfurter Hof, l’Anglais Ken Follett, retiré développeur cosmopolite à débarquer quelque cycle, se ressert un goulée de mousseux à une piédestal mitoyen du bar, closerie de son chapelle, constitué en mince banque, The Follett Office. D’distinctes écrivains sont identiquement de partie intra-muros derrière des nouveauté distinct : l’Américaine Siri Hustvedt, derrière une congrès à la compte de son conjoint, Paul Auster, consommation en avril, la Turque Elif Shafak, derrière le encensement introductif de la congé d’tampon (où miss a insisté sur le devoir de « fermeté » de la édition là-dedans le monde présent), l’Israélien Yuval Noah Harari, développeur superstar de Sapiens, apparu conduire au monde son neuf libelle, Nexus

Il vous-même appendice 79.94% de cet feuilleton à ronger. La séquelle est prudente aux abonnés.

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