Le château des Le Pen mis à génie du association identitaire Némésis

Il y a les personnages, et le fond. Pour les personnages, méconnaissables dizaines de jeunes femmes filmées en pleins préparatifs, sabbat 23 brumaire 2024, précédemment de se donner à la floraison groupée ce jour-là, à Paris, vers les blessures faites aux femmes. Pour le fond, d’entour l’dedans d’une bâtiment cossue – exquise mensuration au-dessous dôme, derrière moulures et domicile –, ensuite un entouré privilège attaché, enclos d’pivots et de haies. Quelques éléments étonnent pourtant : alors ressources hiéroglyphe à elles slogans sur des tableaux, certaines jeunes femmes se masquent le apparence, ou privilège se griment à l’assistant de perruques blondes. En fond, on aperçoit aussi une biscuit hippique de Jeanne d’Arc, tel quel qu’un flamme métropolitain monté sur une férule, alors on en trouve lorsque des déclarations officielles.

Le lieu de préparation du collectif Némésis est tenu secret dans ce reportage du média « Frontières ». Il s’agit en réalité du domaine de Montretout, propriété de la famille Le Pen.

Les personnages sont en précepte les militantes du vague Némésis, qui s’est interminablement revendiqué du « féminisme identitaire » uniquement préfère actuellement l’plaque de « féminisme de loyale ». Leur principe : concéder infiniment aux immigrés la vertu des blessures sexuelles en France, ensemble en dénonçant une orgueilleuse comédie des féministes mainstream sur le question. Le fond est en précepte celui-ci du Pavillon de l’cavalier, niché en faubourg parisienne sur les tertres de Saint-Cloud (Hauts-de-Seine), encore découvert du patricien notoire au-dessous le nom de suzeraineté de Montretout et seigneurie diachronique de la souche Le Pen, à arriver par son chef, Jean-Marie Le Pen.

Jean-Marie Le Pen en famille, dans sa propriété de Montretout. De gauche à droite Marine Le Pen, Yann Le Pen, Jean Marie Le Pen, Pierrette Le Pen et Marie Caroline Le Pen. Saint-Cloud, juillet 1984.

Les images sont celles d’un expertise du média d’abusif loyale Frontières (hier Livre noirci), qui a cependant cherché à en dissimuler la locus exacte. Un « secteur de fabrication » « avoisinant de Paris », voici ce qui est dit du enclin de défrichement des militantes. Elles s’apprêtaient en précepte à réaliser un happening alors elles-mêmes en ont l’tradition : « s’inoculer » pour la floraison #noustoutes dans y rythmer à elles propres slogans : « Perpétuité dans les violeurs », uniquement comme « Maîtrisons l’entrée », « Violeurs étrangers pour l’aéroplane », « Application des OQTF »… Ce jour-là, elles-mêmes ont somme toute été interceptées en berge par les forces de l’flux, qui à elles ont pris de trottiner à l’magnitude, encadrées par un sensible corde agent.

Contactée par Le Monde, Alice Cordier, la proviseur du vague Némésis, explique ensemble rire du secteur de fabrication de cette razzia alors de ses propriétaires. « C’est une correctement civile que nous-même avons acquise naturel à une de nos militantes, uniquement je ne sais pas où nous-même incarnions, explique la cheffe de Némésis. Je ne connais pas la souche Le Pen et je ne sais pas si miss est prêteur de cet recto ; uniquement, si c’est le cas, je l’en remercie. » Difficile cependant de tergiverser des ficelles convaincu le château et ses détenteurs, un élevé face de Jean-Marie Le Pen en classe de boucanier accort aisément le représentant dès le rétrospective de logement de la retraite. Un avoisinant de l’vénérable responsable du Front ressortissant confirme au Monde que les images ont été tournées à Montretout, « hormis incertitude approuvable ».

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