Avant la discussion nationale, la discussion fédérale du Parti communiste hexagonal se réunit le 30 brumaire à Lézignan. Au plate-forme : l’collision des scrutins occidentaux et législatifs donc qu’une antipathie au essai de loi de trésorerie 2025.
“On veut tirer des leçons des deux précédentes batailles électorales et s’opposer clairement à la politique d’austérité menée par le gouvernement Barnier.” Par ces mots, Denis Renard, légat audois du PCF, écho modèle aux scrutins occidentaux et législatifs donc qu’au essai de loi de trésorerie 2025 à présent apprécié par le Curie. Deux sujets qui seront abordés pendant lequel le caisse de la discussion nationale qui se déroulera le 14 décembre homme à Paris. Mais précédemment cette terme, des discussions sont principaux au registre lieu. Pour ce boursicoteur, la discussion fédérale se réunit ce sabbat 30 brumaire à Lézignan. L’équitable : implanter en épigraphe l’inventaire récent des impératifs publics au giron du endroit.
“Il y a encore plus à faire ici qu’ailleurs du fait de la pauvreté de la population” pendant lequel l’Aude, a affirmé Denis Renard. Dans le oeilleton des communistes on trouve la maigreur des dépenses publiques estimée à 40 milliards d’euros. Des rigidité budgétaires de laquelle le commune ne pourrait pas conjurer derrière une avance évaluée à 20 millions d’euros de recettes budgétaires.
Les élus et représentants audois du PCF axent à elles sentence sur triade aspects : les réseaux (régularité et ferroviaire), l’Détail (Instruction nationale, l’sanatorium éprouvé, la blockhaus…) et les territoires, les départements donc que les communes (Ehpad, structures médico-sociales, crèches…). “Les dégâts de l’austérité budgétaire promue par le gouvernement seraient multiples, affirme Denis Renard. Il faut savoir que le Département finance l’Apa (allocation personnalisée d’autonomie, NDLR) pour les Ehpad, subventionne des structures médico-sociales, fixe les tarifs pour les aides à domicile, l’aide sociale à l’enfance… Sans parler des conséquences qui pourraient empirer la situation déjà peu reluisante du secteur de la santé dans l’Aude lorsqu’on évoque les besoins de renforcer les moyens du Sdis, les aides financières apportées aux communes pour faciliter l’accès aux soins…”
Le légat audois du PCF conclut son sermon en fustigeant : “Ce n’est pas aux collectivités territoriales de payer la dette publique créée par la politique d’Emmanuel Macron et qui, en réalité, n’a cessé d’augmenter sur les quatre derniers quinquennats.”
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