“Le radicalisme n’est soluble dans rien” : à Gruissan, Jean-Michel Baylet billet à un tremblement du devenir fini hexagonal

l’basique
En décembre 1973, il y a continûment 51 ans, naissait le Mouvement des radicaux de obtus. À cette aubaine, Jean-Michel Baylet a rejoint à Gruissan, ce sabbat 9 brumaire, les présidents des fédérations d’Occitanie moyennant de flatter un détail des endroits. S’il constate que les facultés défendues par les radicaux n’ont par hasard été également d’mésaventure, Jean-Michel Baylet déplore de ce fait que le Parti fini de obtus ne O.K. pas aujourd’hui mieux “audible”, appelant les siens à se “mettre au travail” afin tempérer cet détail de histoire.

Quelques paye rarement postérieurement sa agnelage fin 1973 à l’moralité d’un Congrès bizarre, le Mouvement des radicaux de obtus réalisait le rudimentaire cabale de la obtus unie à sonder à François Mitterrand de équilibrer sa sollicitation à la régie de la Ville. Son commission de épaulement sera d’distant présidé par un fini, François Luchaire, et le MRG fera écouter, aux côtés des socialistes et des communistes, un briefing pictographique. Celui d’une obtus gratifiant l’esprit, privilégiant l’habitant et les latitudes.

Un demi-siècle postérieurement ces moments chargés d’fable, Jean-Michel Baylet constate que “les valeurs du Parti radical de gauche, à savoir laïcité, fraternité, solidarité, n’ont jamais été autant d’actualité”. Celui qui fut “le plus jeune parmi les créateurs” du devenir réunissait ce sabbat 9 brumaire, à Gruissan, les présidents des fédérations d’Occitanie : intégraux ont répondu courant. Objectif, “rappeler tous ces acquis mais aussi nous préparer à ce qui arrive tant sur la scène internationale avec Trump, Poutine ou la Chine, que sur le plan national où la situation est très compliquée”.

“C’est le combat de ma vie”

Fidèle a l’jugement qui a régulièrement guidé les Radicaux, le totalité là-dedans une “ambiance chaleureuse et fraternelle”, Jean-Michel Baylet souhaitait pour “échanger, et parler sans concession de ce qu’il y a lieu de faire”. Car l’intéressé est de ce fait savant : “Avoir des valeurs, c’est bien, nous regrettons cependant que les Radicaux de gauche ne soient plus audibles”. Soulignant que “j’avais réussi à ce que notre parti dispose de parlementaires au Sénat, à l’Assemblée et s’assure une représentativité européenne”, Jean-Michel Baylet constate qu’’il n’en est bagatelle aujourd’hui”, et appelle ses troupes à se “implanter au boum”… hormis règlement.

“Le radicalisme n’est soluble dans rien, insiste-t-il. Nous devons peser sur les sujets qui font l’actualité, et cette réunion a aussi permis d’envisager d’autres réunions de travail pour préparer les futures échéances”. “C’est le combat de ma vie, rappelle Jean-Michel Baylet. Je n’ai pas eu d’ambition personnelle, je me suis toujours engagé pour les Radicaux et la République”. Sans mésestimer ces racines politiques si proches de moi-même : “Elles se sont développées en Occitanie, et notre région doit continuer à les porter”.

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