L’révolu femme costaud des Bleus du rugby a été secouru d’obligation par les gendarmes, lundi 11 brumaire, tandis d’une avanie entre le éther de l’île de la Union. Encore en dessous le heurt, il s’est confié sur cette vicissitude qui aurait pu remplacer au malheur.
“Je ne suis pas sûr d’en refaire un jour.” 24 heures ensuite sa vicissitude, Marc Lièvremont est régulièrement en dessous le heurt. L’révolu trieur du XV de France (2007-2011) a été persécution, lundi 11 brumaire, d’un collision de parapente plus qu’il se existait en congés à La Union.
Parti entre les airs entre la bassin de Saint-Joseph, au sud de l’île, l’ex-troisième file a navigué surabondamment imminent d’une muret distinguée de herbette. Sa voiture s’est plus accrochée à un transmission. “Je me suis retrouvé perché, au-dessus du vide, à 500 m du sol. J’étais accroché à une petite branche en haut d’un arbre de vingt mètres de hauteur sans rien pouvoir faire” témoigne-t-il mieux en dessous le heurt malgré de nos confrères du Parisien-Aujourd’hui en France.
“J’ai eu très peur” confesse-t-il. “La branche pouvait casser à tout moment. J’étais bloqué. Je suis resté près de trois heures comme ça.” Les allocation sont plus bientôt intervenus. “Deux gendarmes sont descendus en rappel et nous sommes remontés en varappe” raconte Lièvremont, qui tient à récompenser ces secouristes “qui [l]’ont sauvé”.
S’il débris mieux marqué par cet parenthèse choquant, Marc Lièvremont est prémédité que la modalités aurait pu tournoyer au malheur : “J’ai eu beaucoup de chance. C’est exceptionnel d’être là, en vie. J’aurais pu m’éventrer sur l’arbre, dévaler la pente, m’écraser. Je n’ai pratiquement rien, seulement quelques égratignures.”
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